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1.
L'influence de la photopériode sur le développement de la chrysope Tjederina gracilis (Schneider) a été étudiée an laboratoire. Les photopériodes constantes ne provoquent jamais d'arrêt du développement jusqu'au stade imaginal. Par contre ces photopériodes constantes ainsi que la combinaison jours longs suivis de jours courts, entraînent toujours une inhibition de l'oviposition consécutive à une diapause reproductrice. La reprise de la ponte peut toutefois survenir spontanénent.Le transfert des insectes au cours de leur développement, ou pendant la vie imaginale, de jours courts ou moyens vers des jours longs, permet d'éviter ou de rompre la diapause. Les valeurs minimales agissant sont de 16 h de lumière pour les jours longs et de 2 h pour la discrimination.Les exigences photopériodiques sont comparées avec celles d'autres espèces à diapause imaginale (Chrysoperla).  相似文献   

2.
L'activité reproductrice des mâles d'Acrolepia assectella placés chaque jour en présence de nouvelles femelles varie au cours de la vie. Les effectifs de ponte et la vitellogénèse sont analysés en fonction du rang de copulation de la femelle, de l'âge du mâle, de la taille du spermatophore et de la densité de spermatozoïdes présents dans les différentes parties de la spermathèque. Les spermatozoïdes seuls semblent nécessaires au déclenchement de la ponte alors que la vitellogénèse est stimulée par un ensemble complexe de facteurs.
Summary The reproductive activity of the male leek moth, Acrolepia assectella, placed every day in the presence of new females, varies during the lifetime. This change in activity is not the result of exhaustion. The volume of the first spermatophores is much larger than that of the following ones, that depends upon the emission rank and not upon the time between two copulations. There is a correlation between the spermatozoa density in the different parts of the spermatheca and the spermatophore size. Oviposition and stimulation of vitellogenesis are functions of the male's age (copulation rank) which has little effect upon the fertility of the eggs; this remains always very high. Results obtained after incomplete copulations (in which spermatozoa without male secretions are emitted or the inverse) show that spermatozoa alone are necessary to stimulate vitellogenesis and release egg-laying but consequences of the reproductive activity of males on quantitative evolution of populations cannot be neglected.
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3.
A simple artificial diet consisting of minced tea leaves and brewer's yeast was found to be suitable for mass-rearing the Tea Tortrix, Homona coffearia, in the laboratory. Growth and development on this diet approximated that observed in the field. At 24° and 75% R.H., the average larval periods were 22.4 days for males and 26.7 days for females while average pupal duration was 6 days for both. The average pupal weights were 35.7 mg for males and 72.2 mg for females. The survival of inoculated 1st-instar larvae to adults was 78% and oviposition rates were superior to those observed in the field. Additional dietary ingredients did not result in any further improvement, on the contrary, an excess supply of enzymatic hydrolysate of casein suppressed development.
Résumé Un aliment artificiel simple, formé d'un mélange de feuilles de thé hachées et de levure de brasserie s'est révélé convenable pour l'élevage de masse en laboratoire de la Tordeuse du thé Homona coffearia. La croissance et le développement sur ce milieu est très comparable à ceux observés dans la nature. A 24° et pour une humidité relative de 75%, la durée du développement larvaire est en moyenne de 22.4 jours pour les mâles et 26.7 jours pour les femelles, cependant que la durée du développement nymphal est en moyenne de 6 jours pour les deux sexes. Le poids moyen de pupes obtenues est de 35.7 mg pour les mâles et 72.2 pour les femelles.La survie moyenne du premier stade larvaire au stade adulte est de 78% et la ponte des femelles issues des élevages est supérieure à celle de femelles provenant de chrysalides récoltées dans la nature.L'addition de sucrose, d'acide linoléique, de chlorure de choline, d'acide ascorbique et de vitamines du groupe B n'apporte aucune amélioration, au contraire, un apport en excès d'hydrolysat enzymatique de caséine empêche le développement.
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4.
Pendant sa diapause reproductrice, la teigne du poireau ne présente pas d'activité sexuelle. La reprise de cette activité, après l'hiver, est essentielle au maintient de la population. Chez les insectes qui ont subi la diapause (D), la durée de copulation est plus courte, et la période précédant la copulation est plus longue que chez les insectes matures (M). Deux caractères intéressants sont observés chez les insectes D après la levée de leur diapause: l'apparition d'un pourcentage de doubles copulations et d'insectes qui copulent après la fin de la scotophase, ce, les ♀♀ matures possèdent des ovocytes en rétention dans les oviductes. Le nombre augmente jusqu'à l'âge de 3 jours environ. Par contre, les ♀♀ en diapause n'ont aucun ovocyte à l'émergence. Sous conditions levant la diapause, ces ♀♀ atteignent leur production ovarienne maximum après une douzaine de jours. L'évolution du nombre des ovocytes dépend de la copulation et de la présence de la plante-hôte. Celle-ci est essentielle pour la ponte et intervient sur la production ovarienne, aussi bien chez les ♀♀ D que chez les ♀♀ M.  相似文献   

5.
Résumé En l'absence de données précises ou concordantes sur la fécondité d'Oscinella pusilla, une étude expérimentale est menée sur des couples isolés, à l'aide d'un dispositif permettant de recueillir commodément la totalité de la ponte.La vie imaginale à 21°C dure en moyenne 32 jours et présente une période reproductrice importante de l'ordre de 25 jours. Durant cette période, la fécondité moyenne est de 83 ufs. Les résultats observés sont complétés par l'étude de dissections d'ovaires.Le dépot des ufs, pendant la période reproductrice, a lieu selon un certain rythme correspondant à l'activité ovarienne.Un rythme nycthéméral de l'activité de ponte est mis en évidence.Enfin, il existe entre la longévité et la fécondité une certaine relation.
Summary Since no precise or consistent information on oviposition and especially on fecundity of Oscinella pusilla is available, we have undertaken such a study of this pest of cereals. The fecundity observed previously in the laboratory (25 to 30 eggs) is incompatible with the rates of increase under natural conditions.Here isolated mating pairs were held in an apparatus allowing easy collection of all eggs laid. The mean adult life was 32 days at 21°C, with an oviposition period of about 25 days and a mean of 83 eggs laid. Dissection of ovaries was also done, in order to analyse the causes of the high variability observed.There is a rhythmicity in oviposition, that becomes less clear as the females grow older. A daily rhythm also exists, 90% of the eggs being laid during the 8 hours in the middle of the 16-hour period of illumination.There is a weak positive correlation between fecundity and longevity.
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6.
Résumé Tetrastichus atriclavus, Eulophide de zone tropicale, s'attaque aux chrysalides de divers Lépidoptères. Il est élevé au laboratoire sur un hôte de remplacement: Galleria mellonella (Pyralidae), à 26°5 et à la photopériode 18 h (L) / 6 h (D).Dans ces conditions, l'accouplement a peu d'influence sur l'activité de ponte: la différence entre la fécondité des femelles vierges et celle des femelles accouplées n'est pas significative. De plus, les femelles vierges ont un fonctionnement ovarien comparable à celui des femelles accouplées.La fécondité est maximale en présence continue de l'hôte. L'absence d'hôte entraîne des rétentions, sans résorption. Lorsque l'hôte est introduit plusieurs jours après l'émergence du parasite, la capacité de ponte de ce dernier diminue. La diminution est d'autant plus grande que le temps de privation est plus long. Un grand nombre d'ufs est pondu immédiatement après l'introduction de l'hôte. Si le temps de privation est inférieur ou égal à 10 jours, on assiste, après la ponte massive du premier jour, à une reprise de l'activité du germarium.
Summary Tetrastichus atriclavus, an Eulophid which is found in tropical regions, parasitises pupae of several Lepidoptera. It is reared in the laboratory on Galleria mellonella pupae, at 26.5° and with the photoperiod 18 h (L)/6 h (D).Mating has little influence on oviposition: there is no significant difference between the fecundity of virgin and mated females. Fecundity is highest when the host is always present. When the host is provided several days after the emergence of the parasite, the number of eggs laid is lower, the decrease being higher as the absence of host is longer. Many eggs are laid just after the host is provided. If the absence of host is 10 days or less, the germarium becomes active again after the heavy oviposition on the first day.


Nous dédions ce travail à la mémoire du Professeur J. R. Le Berre, avec notre hommage reconnaissant et ému.  相似文献   

7.
Résumé La thiourée incorporée à l'alimentation des imagos de Musca domestica entraîne une diminution de la fécondité et de la fertilité qui croît avec la concentration. La dose de 1% provoque une réduction de la ponte de 63% et du pourcentage de nymphose de 14%. Dans les croisements où un des sexes seulement est traité, la réduction de fécondité est supérieure si les femelles sont traitées (51%) plutôt que les mâles (29 et 21%). En outre le produit s'avère plus efficace lorsqu'il est incorporé à du sucre plutôt qu'à du lait. Une modification du rythme de la ponte est observée quand les deux sexes sont traités. Il ne semble pas y avoir de récupération de la fertilité avec le temps. Enfin la toxicité du produit est plus élevée pour les mâles que pour les femelles.
Summary When thiourea is incorporated into the diet of adult Musca domestica, the fecundity of crosses decreases with increasing doses. The decrease is about 40%, 52%, 56%, 63%, 69% and 77% respectively for concentrations of 0.25%, 0.50%, 0,75%, 1.0%, 1.5% and for a saturated solution. The decrease varies for a given concentration depending on the direction of the parental cross. The females are more sensitive than the males; at a dose of 1%, when a male parent has been treated, the decrease in fecundity of the female is only 20–29%, compared with up to 56% in crosses where the female parent has been treated. When both sexes have been treated fecundity decreases by 72–84% depending on the type of food given. In fact, the thiourea appears to be more effective when it is incorporated in milk rather than in sugar.Fertility is likewise reduced; the percentage of eggs hatching and larvae emerging decrease from 25 to 50% according to the type of cross made. The larvae are less affected than the eggs and it seems that the thiourea has more effect on the eggs than on larval development. Full fertility is apparently not regained.The rhythm of laying is similarly modified in cases where the two sexes have been treated. Fewer eggs are laid at the beginning of the cycle than at the end; 72% and 42% of the eggs are laid at the end of the cycle in crosses made from individuals fed on sugar and milk respectively.The toxicity of the substance varies according to the sex. The males are more sensitive than the females and their longevity is likewise more affected than that of the females.
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8.
Females of the sunflower moth, Homoeosoma electellum, laid a total of 242.3±27.4 (X±SE) eggs when provided oviposition sites of wax paper dusted with pollen from cultivated sunflowers. Fecundity was influenced by the age at which mating occurred but not by the duration of mating. Eggs were laid during both the light and dark portions of a 16L:8D photoperiodic cycle, with an evident peak occurring shortly after the onset of the scotophase.The fecundity of females provided oviposition sites with a 1 mg equivalent of an ethanolic pollen extract daily (124.2±22.8) did not differ significantly from that of females provided 1 mg of pollen (172.2±28.0). Furthermore, the females showed the same positive dose dependent oviposition response where sites contained different concentrations of either pollen or pollen extract. However, when different oviposition substrates were provided simultaneously, females preferred pollen > reconstituted pollen (extract + pollen residue following extraction) = pollen extract > pollen residue = wax paper control. These data confirm the presence of an oviposition stimulant for H. electellum in the sunflower pollen.Antennectomised females laid as many eggs on sites with pollen residue as on sites with pollen, indicating that the majority of sensillae for detecting the oviposition stimulant are located on the antennae.The importance of pollen load as an indicator of a suitable host plant, given that previous laid eggs do not inhibit subsequent oviposition, is discussed with respect to larval survival.
Résumé Les femelles de la pyrale du tournesol, Homoeosoma electellum ont pondu un total de 242.3±27.4 (X±SE) oeufs sur des sites de ponte faits de papier ciré et saupoudrés de pollen de tournesol cultivé. La fécondité a été significativement affectée par l'âge des individus au moment de l'accouplement, cependant la durée de l'accouplement n'a pas influencé la fécondité. Sous une cycle de 16L:8D, la ponte a eu lieu aussi bien en phase de lumière que de noirceur mais le pic de la ponte a eu lieu peu après le début de la scotophase.La fécondité des femelles à qui on a offert à chaque jour des sites de ponte traités avec un extrait de pollen à base d'éthanol à une concentration de 1 mg de pollen (124.2±22.8) n'a pas été significativement différente de celle obtenue sur des sites traités avec 1 mg de pollen (172.2±28.0). De plus, le nombre d'oeufs pondu a augmenté en fonction des différentes concentrations de pollen ou de l'extrait de pollen offertes simultanément. Cependant, lorsque différents sites de ponte ont été offerts simultanément, les femelles ont préféré le pollen > le pollen reconstitué (extrait + pollen résiduel après l'extraction) = extrait de pollen > pollen résiduel = papier ciré non traité (témoin). Ces données confirment que le pollen de tournesol contient des substances qui stimulent la ponte de H. electellum.Les femelles antennectomisées ont pondu autant d'oeufs sur des sites traités avec le pollen résiduel que sur ceux traités avec le pollen, ce qui indique que la plupart des sensilles impliquées dans la détection du stimulant de ponte se trouvent au niveau des antennes.Etant donné que la présence des oeufs déjà pondus n'inhibent pas les pontes subséquentes, l'importance de la charge de pollen, comme indice de la bonne qualité de la plante-hôte, est discutée en relation avec la survie des larves.
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9.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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10.
Longevity and fecundity of the sorghum shoot fly, Atherigona soccata Rond. were mainly affected by the adult food. Lack of mating reduced fecundity and affected the rate of oviposition in the females, but did not affect longevity. The mean number of eggs per mated female was 62.8±0.9. Oviposition began at a mean period of 4.7 days after adult emergence. Mean longevity of females and males was 32.6±0.3 and 25.4±0.4, days, respectively.
Résumé La longévité et la fécondité de Atherigona soccata dépendent avant tout de la nourriture de l'adulte. L'absence d'accouplement réduit la fécondité et modifie le taux de ponte des femelles, mais ne touche pas leur longévité. Le nombre moyen d'ufs pondus par femelle accouplée est 62,8±0,9 (extrêmes 10–167). La ponte commence en moyenne 4–7 jours après l'émergence des adultes (extrêmes 2 et 14 jours). La longévité moyenne des femelles et des mâles est respectivement de 32,6±0,3 jours et 25,4±0,4 jours.
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11.
Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs ufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie.Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
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12.
This paper determines reproductive limits and variation in performance of male twospotted spider mites Tetranychus urticae Koch when virgin females are provided ad libitum over the first eight days of adult life. Theree phases of male reproduction were studied: copulations, insemination and reproduction. An average one day old male copulated 15 times, inseminated 15 females, and contributed to 336 daughters. All parameters declined with age. The average male inseminated 70 females and contributed to 1145 daughters in the first days. Variability between males was small for all parameters considered. These data suggest that the number of sperm transferred at each insemination, rather than the number of inseminations, is the limiting step to higher male reproductive output.
Résumé La reproduction est un processus qui nécessite généralement un mâle et une femelle. Cependant la biologie des populations ne s'est traditionnellement intéressée qu'à la contribution des femelles dans ce processus. Un effet de cet accent sur les femelles est que l'activité reproductrice des mâles a été très ignorée. Cet article examine, dans un contexte démographique, l'activité reproductrice des mâles de T. urticae, acarien arrhénotoque et phytophage. Trois séquences de l'activité reproductrice des mâles ont été examinées: 1) la copulation, 2) l'insémination, 3) la reproduction.En moyenne un mâle de 1 jour a copulé 15 fois, inséminé 15 femelles et a eu 336 filles. Pendant les 8 premiers jours, le mâle moyen a inséminé 70 femelles et a eu 1145 filles. Ces résultats suggèrent que le nombre de spermatozoïdes transférés à chaque insémination, plus que le nombre d'inséminations, est le facteur limitant d'une forte contribution du mâle à la reproduction.
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13.
The weight of lime aphids consumed by B. angulatus increases at an increasing rate during nymphal development, with the fifth instar contributing 50% of the total consumption. Males and females reach different adult weights, but show no difference in food consumption. The efficiency of conversion of aphid food into body tissues diminishes from the third instar onwards. Females continue to oviposit for 5 weeks at least, laying on average just over one egg per day. The daily food requirements of ovipositing adult females increase as they get older, being more than twice as great as those of fifth-instar nymphs. Nymphs can tolerate a less than optimal food supply, and in the early instars they can compensate for an inadequate diet by converting food into body tissues with increased efficiency. Teneral adult weight is, however, proportional to the weight of food consumed during the fifth instar. B. angulatus can develop successfully on parasitized aphids and can utilise honeydew to prolong survival and, to a limited degree, to increase in weight. Leaf tissue has no significant value as a source of food.
Résumé Les besoins alimentaires de B. angulatus ont été étudiés au laboratoire à une température de 14 degrés.Quand B. angulatus est largement approvisionné avec des pucerons du tilleul, sa consommation de nourriture s'accroît de plus en plus au cours du développement, de même que son poids, de sorte que le 5ème stade larvaire absorbe un peu plus de 50% du poids total de pucerons consommés pendant toute la durée du développement larvaire. Ce 5ème stade larvaire est plus long que le 4ème, lequel est également plus long que chacun des trois premiers stades. La consommation journalière est moindre au début et à la fin de chaque stade, en particulier dans les derniers stades.Le prédateur consomme jusqu'à 90% du poids du corps de la proie. Quand les pucerons lui sont donnés en excès, la larve du 5ème stade de B. angulatus tend à tuer plus de proies qu'elle n'en consomme, ce qui sans doute est dû à la stimulation provoquée par la proie.Le rendement de croissance (efficience de la transformation du poids d'aphides absorbés en poids du corps du prédateur) diminue à partir du 3ème stade larvaire (de 46% pour le ler stade à 19% chez les adultes femelles). Au 5ème stade larvaire le rendement de croissance des mâles est significativement plus faible que celui des femelles, de sorte que les mâles sont plus légers que les femelles à l'état de maturité, bien que les deux sexes consomment le même poids de pucerons.Les femelles adultes commencent à pondre environ deux semaines après la mue imaginale et chacune dépose en moyenne 44 ufs, environ 1, 2 par jour. Les besoins alimentaires des femelles adultes en cours de ponte s'accroissent avec leur âge; leurs besoins journaliers en pucerons sont plus de deux fois aussi grands que ceux des larves du 5ème stade.Les larves peuvent supporter un apport en nourriture réduit par rapport à l'optimum.La résistance à la restriction alimentaire est plus grande au 3ème stade larvaire qu'aux ler et 5ème stades. Le ler et le 3ème stade larvaire peuvent compenser une réduction de l'apport alimentaire, par un meilleur rendement de croissance, ce que ne peuvent faire les larves du 5ème stade. B. angulatus peut se développer de façon satisfaisante en se nourrissant de pucerons parasités et momifiés. Il peut aussi utiliser le miellat en cas de disette ce qui lui permet d'accomplir un développement partiel, d'un stade au suivant, mais pas au-delà. En moyenne B. angulatus ne survit pas plus longtemps quand on ne lui offre que de l'eau ou des feuilles de tilleul, l'insecte peut en effet piquer celles-ci, pour lutter contre la dessication.
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14.
Egg production in mated and virgin females of the cotton stainer, Dysdercus fasciatus Signoret, was studied in the laboratory. No significant differences were found in adult longevity, pre-oviposition period, inter-oviposition period, the total number of eggs oviposited during the whole reproductive period, and the mean number of mature eggs retained in the ovaries at each oviposition. Thus, mating has no influence on egg production or oviposition in this insect.
Résumé L'influence de la copulation sur la fécondité de la Punaise rouge du Coton, Dysdercus fasciatus fut étudiée au laboratoire à la température de 28±1° et à l'humidité relative de 55–65%. Six facteurs furent spécialement étudiés: la longévité des adultes, la durée de la période précédant la ponte, la durée moyenne des périodes comprises entre les pontes, le nombre de pontes déposées par chaque femelle durant sa phase reproductrice, le nombre moyen d'oeufs par ponte et le nombre moyen d'oeufs mûrs retenus dans les ovaires à chaque ponte.L'accouplement n'avait pas d'effet sur ces différents facteurs, excepté les quatrième et cinquième facteurs. Les femelles vierges déposaient davantage de pontes que les femelles ayant copulé, mais ces pontes avaient une plus petite quantité d'oeufs que les autres. Il en résultait que le nombre total des oeufs émis par les deux catégories de femelles durant leur vie était à peu près identique. Ainsi, dans cette espèce, l'accouplement n'avait pas d'influence apparente sur la fécondité relative et globale.
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15.
Résumé L'élevage au laboratoire du criquet migrateur Locusta migratoria L. se fait généralement sur des graminées sauvages comme le roseau (Phragmites communis T.), le bambou (Sasa japonica L.), le pâturin (Poa annua L.) ou des graminées cultivées tel le blé par exemple (Triticum sativum Vill.). Malgré les efforts faits par de nombreux auteurs, le développement complet n'a pu encore être obtenu sur un milieu nutritif de type holidique ou synthétique c'est-à-dire totalement défini du point de vue chimique. Par contre, deux milieux nutritifs semi-synthétiques et qualifiés de méridique par Dougherty (1959), permettent au criquet de se développer dans des conditions satisfaisantes. L'un comporte des feuilles sèches de roseau, (Borisova, 1966) l'autre seulement de l'extrait aqueux de pâturin (Rigollet, 1966).Nous avons repris les conclusions des précédents auteurs et cherché à obtenir un milieu nutritif de type méridique capable de satisfaire les exigences alimentaires des larves du criquet migrateur prises dès l'éclosion. Nous avons aussi tenu à voir si l'introduction d'une photopériode dans les conditions d'élevage ne modifie pas l'assimilation des éléments nutritifs ingérés et digérés.Il apparaît ainsi qu'une croissance régulière et satisfaisante des larves peut être obtenue sur des milieux nutritifs semi-synthétiques ne comportant pas de particules végétales. Celles-ci sont remplacées par de l'extrait de blé, de pâturin ou de salade qui représente à peine un pour cent du poids sec de l'aliment. Cependant, les extraits interviennent différemment selon le stade dy développement et le sexe des larves, la composition de base du milieu, la durée journalière de l'éclairement.Par ailleurs, quel que soit le régime alimentaire auquel sont soumises les larves, une photopériode de douze heures améliore la croissance pondérale et diminue la durée du développement, par rapport à ce qui est observé en éclairement continu. Il paraît enfin démontré que les larves femelles, en fin de développement, se montrent plus sensibles que les larves mâles, en face de déficiences ou de déséquilibres nutritionnels.
Summary Laboratory rearing of the migratory locust Locusta migratoria usually is on such wild Gramineae as the reed (Phragmites communis), bamboo (Sasa japonica), meadow grass (Poa annua) or on cultivated Gramineae, for example on wheat (Triticum sativum). Complete development has not yet been obtained on a diet of the holidic or synthetic type. On the other hand there are two meridic or semi-synthetic diets, that allow the locust to develop satisfactorily. One consists of dried reed leaves (Borisova, 1966), the other includes merely aqueous extract of meadow grass (Rigollet, 1966).We have sought a diet of the meridic type that would satisfy the alimentary requirements of nymphs of the migratory locust taken shortly after hatching. We also investigated whether introduction into the rearing conditions of a photoperiod modifies the assimilation of the nutritive elements that were eaten and digested.Regular and satisfactory growth of the nymphs could be obtained on semi-synthetic diets that contain no vegetable particles. The latter are replaced by an extract of wheat, meadow grass, or lettuce, amounting scarcely to 1% of the dry weight of the food. However, the effect of the extracts differs according to the developmental stage and sex of the nymphs, the basic composition of the medium, and the diurnal duration of lighting.Besides, whatever the alimentary regime to which the nymphs are subjected, a photoperiod of 12 hours improves the gain in weight and reduces the duration of development, relative to what is seen under constant illumination. Finally, it is demonstrated that female nymphs, at the end of the developmental period, are more sensitive than male nymphs to nutritional deficiencies or disequilibria.
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16.
Résumé Un milieu semi-synthétique dont les seules substances brutes sont la caséine et l'huile de germe de maïs, a permis d'obtenir vingt générations successives de Plodia interpunctella. Les caractères physiologiques de cette population sont comparés à ceux des insectes élevés sur le substrat naturel constitué par des graines de pistache.Sur le milieu semi-synthétique, la durée moyenne du développement larvaire (39,1 jours) est plus longue que sur le milieu naturel (32,6 jours), mais le taux d'émergence est plus élevé (81,4% contre 53,1%). D'autre part, la fécondité des femelles est plus faible sur le milieu semi-synthétique (146 ufs par femelle) que sur le milieu naturel (213 ufs par femelle). La fertilité des ufs est, dans les deux cas, supérieure à 90%.Après analyse des résultats et discussion, nous concluons que le milieu semi-synthétique utilisé est satisfaisant pour la croissance et le développement de Plodia interpunctella.
Summary A semi-synthetic diet containing as crude materials only casein and maize germ oil has sustained twenty successive generations of Plodia interpunctella. The physiological characters of this population are compared to those of the control insects reared on pistachio nuts. On the semi-synthetic diet, the mean duration of development (39.1 days) was longer than on the natural food (32.6 days), but the emergence rate was higher: 81,4% vs 53.1%. On the other hand, the fecundity of the female was smaller on the semi-synthetic diet (146 eggs per female) than on the natural food (213 eggs per female). The fertility of eggs was in both cases higher than 90%.It is concluded that the semi-synthetic diet allows satisfactory growth and development of Plodia interpunctella.
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17.
The sex ratio of the progeny of single females parasitizing large hosts favoured the females (sex ratio=0.26); but on small hosts favoured the males (0.73). No differences in mortality of the sexes were detected. The sex ratio was independent of female age when large hosts were used. The percentage of males observed in the progeny of the first day of female oviposition was significantly greater than the mean, irrespective of the age at which female oviposition began. When females were exposed to small hosts, a greater percentage of females was observed in the progeny from the last days of oviposition.
Résumé L'influence de la taille de l'hôteret de l'âge de la femelle sur le taux sexuel de la descendance a été étudiée sur le parasitoïde Opius concolor Szépl.Le taux sexuel de la descendance des femelles isolées est favorable aux femelles (t.s.=0,26) quand elles ont à leur disposition des hôtes de grande taille, tandis qu'avec des hôtes petits le taux sexuel est favorable aux mâles (t.s.=0.73). On n'a pas détecté de mortalité différentielle des sexes.Les pourcentage de mâles obtenu le premier jour de ponte des femelles sur les hôtes de grande taille est significativement différent de la moyenne, indépendamment de l'âge de la femelle à ce moment. Cependant, sur des hôtes petits, bien que restant favorable aux mâles dans l'ensemble, une plus grande proportion de femelles à partir des premiers jours de ponte a pu être observée.
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18.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

19.
Dans la nature, les ♀♀ d'A. obtectus pondent dans les gousses sèches de P. vulgaris, par des fentes de déhiscence, ou après avoir pratiqué avec leurs mandibules une perforation sur une suture de la gousse (généralement la suture ventrale). Le taux de contamination est déjà très fort (0.40) après seulement 2 à 3 jours d'exposition au stade phénologique propice à la ponte. Ce taux augmente avec la durée d'exposition mais se stabilise assez vite pour des durées supérieures à 5 jours. Par contre, le nombre d'?ufs déposés par gousse contaminée augmente régulièrement en fonction de la durée d'exposition, les ♀♀ concentrant leur ponte dans certaines gousses en utilisant la même perforation. Ces résultats permettent de discuter les hypothèses émises à la suite de travaux ayant mis en évidence, au laboratoire, l'existence, chez A. obtectus, de «phéromones répulsives» de marquage du lieu de ponte. A. obtectus — P. vulgaris — Oviposition behaviour— Eggs distribution. A. obtectusP. vulgaris — comportement de ponte — distribution des pontes. Nous remercions le Professeur V. Labeyrie pour son aide critique.  相似文献   

20.
Encapsulation of Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hymenoptera, Encyrtidae) by the cassava mealybug Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptera, Pseudococcidae) was studied in the laboratory under controlled conditions (thermohygrometry and photoperiod as close as possible to field conditions): temperature, 26±1 °C; relative humidity, 80±10%; photoperiod, 12 h. Encapsulation began with melanin deposits forming on the parasitoid envelopes at different developmental stages: egg chorion and cuticle of L2 and L3 larvae. It led to the formation of an amorphous capsule from which parasitoids could occasionally escape. Encapsulation affected 26.7% of all parasitoids in solitary parasitism. There was a highly significant increase in the level of encapsulation (83.3%) in superparasitism. Encapsulation was more likely when egg laying occurred in the median body zone of host mealybugs but it was not related either to the sequence of eggs deposited or to the duration of egg laying. These results have significant implications for the assessment of E. lopezi parasitoid efficiency and should be considered in the current biological control program on P. manihoti in Africa.
Mélanisation et encapsulement des ufs et des larves d'Epidinocarsis lopezi par son hôte Phenacoccus manihoti: effets du superparasitisme et des modalités de la ponte
Résumé L'encapsulement d'Epidinocarsis lopezi (De Santis) (Hyménoptère, Encyrtidae) par la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero (Homoptère, Pseudococcidae) a été étudié au laboratoire en conditions standardisées de thermohygrométrie et de photopériode aussi proches que possible de celle existant sur le terrain: température: 26±1 °C; hygrométrie relative: 80±10%; photopériode: 12 heures.Le phénomène débute par un dépot de mélanine sur les enveloppes du parasitoïde à différents stades de son développement: chorion de l'uf ou cuticule des larves L2 et L3. Il aboutit à la formation d'une capsule amorphe dont le parasitoïde parvient parfois à s'échapper. L'encapsulement affectant 26,7% des individus en situation de parasitisme solitaire est très significativement augmenté dans le cas de superparasitisme où ce taux concerne jusqu'à 83,3% des Hyménoptères en développement mais dans ces situations de superparasitisme, un Hyménoptère adulte est toujours obtenu d'une cochenille infestée.L'encapsulement est par ailleurs favorisé lorsque la ponte du parasitoïde s'effectue dans la région médiane de la cochenille mais ne dépend pas du rang de ponte des ufs et de la durée de la piqûre.Nos résultats, confirmés par des travaux de terrain au Congo, indiquent qu'un tel taux d'encapsulement a une incidence sur l'efficacité parasitaire d'Epidinocarsis lopezi et qu'il doit être pris en considération dans le progamme de lutte biologique en cours en Afrique contre Phenacoccus manihoti.
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