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1.
Oviposition rate and developmental capacity was determined for Amblyseius hibisci (Chant), A. limonicus Garman and McGregor, A. largoensis (Muma), Metaseiulus pomoides Schuster & Pritchard, M. occidentalis (Nesbitt), Typhloseiopsis arboreus (Chant), Typhodromus pyri Scheuten, Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot, and Iphiseius degenerans (Berlese) on both artificial and natural diets. Oviposition and development occurred in seven of nine species when fed artificial diet and in all species when fed natural diets (phytophagous mites or pollen). The combined mean oviposition rate (21-d tests) for all species which oviposited on artificial diet was ca. one third the rate achieved by these species when tested on natural diets. Eggs and immature stages derived from oviposition tests with artificial diet showed no abnormalities and developmental times (egg to egg) were similar to those observed on natural diets. Predator cultures maintained on artificial diet showed gradual declines in viability within 2–3 months and only A. hibisci survived longer than 6 months. Adult predators of species which failed to oviposit when fed artificial diet survived longer than adults tested in the absence of food and water. Immature stages of these species failed to develop on artificial diet.
Ponte et developpement d'acariens predateurs alimentes a partir d'un regime artificiel et d'un regime naturel (Acari: Phytoseiidae)
Résumé Le nombre d'ufs pondus par 7 espèces de Phytoseiidae nourries sur milieu artificiel a varié de 0,1 à 1,2 uf/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 0,5 uf/femelle/jour pour une période de ponte moyenne de 18,5 jours.Deux espèces, Phytoseiulus persimilis et Metaseiulus occidentalis nourries sur milieu artificiel, n'ont pas pondu; leurs longévités moyennes ont été respectivement de 11,3 et de 10,3 jours.Avec un régime naturel (acariens phytophages ou pollen), le nombre d'ufs pondus, pour 9 espèces de Phytoseiidae a varié de 0,8 à 3,2 ufs/femelle/jour. Pour l'ensemble des espèces, le nombre moyen d'ufs pondus a été de 1,7 uf/femelle/jour pour une durée moyenne de la période de ponte de 19,0 jours.La viabilité des ufs provenant des expériences de ponte avec régime artificiel était elevée chez toutes les espèces prédatrices et les durées du développement sur milieu artificiel étaient semblables à celles observées avec régime naturel. La viabilité des élevages de prédateurs maintenus sur milieu artificiel a diminué progressivement et la plupart des élevages avaient disparu en moins de 6 mois. Les tentatives d'élevage de P. persimilis et M. occidentalis sur milieu artificiel ont été négatives bien que les prédateurs adultes femelles aient eu une plus grande longévité sur milieu artificiel qu'en absence de nourriture et d'eau.
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2.
The rice green leafhopper, Nephotettix cincticeps, was reared from the first instar to the adult stage on a holidic diet. Adult emergence from the diet-reared nymphs was ca. 53.3%, similar to rice seedlingreared; nymphal period being 22.5 days at 25°. The diet-reared females did not lay eggs under artificial feeding conditions although they had normal eggs in their ovarioles and could oviposit on rice seedlings in a test tube. The diet containing 1.68% (w/v) amino acid mixture and 5% (w/v) sucrose was best for growth and development.
Résumé Nephotettix cincticeps a été élevé des larves venant d'éclore à l'adulte sur un régime holidique. Le taux d'adulte obtenus (53,3%) est voisin de celui obtenu avec élevage sur pousses de riz. Le développement larvaire demande 22,5±0,4 jours à 25°. Les femelles élevées avec ce régime ne pondent pas d'ufs en alimentation artificielle bien qu'elles aient un nombre normal d'ufs dans les ovarioles et pondent sur pousses de riz dans un tube témoin. Un régime contenant 1,68% d'acides aminés mélangés et 5% de sucrose assure la meilleure croissance et le développement le plus rapide.
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3.
Résumé Bruchus affinis Frölich (Coléoptère, Bruchidae), est une espèce univoltine attirée sélectivement par les fleurs de L. sylvestris, qui constitue l'une des trois plantes dont les larves consomment les graines. Il s'agit d'un insecte typiquement spécialisé à l'exploitation de plantes particulières. Cependant, les femelles distribuent leurs ufs sur les gousses jeunes de L. sylvestris sans tenir compte, ni de leur disponibilité en graines, ni du nombre d'ufs déjà présents, alors que le développement des larves est solitaire. Les larves néonates perforent la gousse et gagnent des ovules. Plusieurs larves peuvent atteindre le même ovule, mais une seule se développe dans la graine en formation. Le nombre d'ufs pondus sur les premières gousses dépasse largement le nombre de graines qui se développeront dans ces gousses. La surabondance d'ufs sur les premières gousses entraîne une forte mortalité.Les déplacements des larves dans les gousses et leur comportement de pénétration dans les graines en croissance ne suppriment pas la compétition intraspécifique larvaire.Aucune adaptation n'ajuste la distribution des ufs et la répartition des larves à l'utilisation optimale des disponibilités en graines. Aucune stratégie adaptative ne limite le gaspillage de progéniture; la spécialisation trophique n'a pas entraîné un comportement reproducteur optimisant l'utilisation des ressources et la survie de la descendance.Bien que la période étudiée corresponde à moins de 10% de la durée du cycle annuel de B. affinis, la très forte mortalité observée entre la ponte et l'installation dans les graines constitue vraisemblablement le facteur-clé des fluctuations annuelles de la population. Les causes de cette mortalité varient d'une station à l'autre, et il est impossible de les hiérarchiser.  相似文献   

4.
The extent to which the parasitoid Cotesia glomerata (L.) (Hymenoptera: Braconidae) discriminates between parasitised and unparasitised host larvae was tested by comparing the mean clutch sizes laid in thirty unparasitised and thirty parasitised two day-old Pieris brassicae (L.) (Lepidoptera:Pieridae) larvae. No eggs were laid in any of the previously-parasitised hosts. In contrast, eggs were laid in all but two of the unparasitised hosts. Most host-rejections involved only a brief insertion of the ovipositor, lasting two seconds or less. However, nearly a third occurred after a more prolonged insertion of the ovipositor, with a mean duration of twenty seconds: not significantly different from that of a normal oviposition.
Résumé Cotesia glomerata (L.) (Hymenopteres: Braconidae) montre deux types de comportement associés à l'oviposition et à l'insertion dans des larves (Pieris brassicae (L.), Lepidoptères: Pieridae) hôtes. Dans le premier cas, il s'agit d'une longue insertion de l'ovipositeur d'une duree de cinq a vingt secondes d'habitude. Dans le second cas, on voit le comportement après une insertion de l'ovipositeur durant deux secondes ou moins. Chez les C. glomerata et chez les autres espèces parasitoides, la première catégorie de comportement a été interprétée comme pondaison (comportement ovipositif) quand à la seconde, elle a été définie comme rejet des hôtes préparasitisés (ou comportement exploratoire). Dans cette étude-ci, on a enregistré la réaction (ovipositive exploratoire) de six guêpes chacuner exposées alternativement à cinq larves parasitisées et à cinq larves non parasitisées âgées de deux jours, le nombre d'ufs pondus dans chacune etant déterminé par dissection. Les ufs pondus par les premières et deuxièmes femelles pouvaient être distinguées par leur grandeux et par leur apparence. Parmi les trente hôtes nonparasitisés initialement, vingt-huit furent parasitisés durant leur comportement ovipositif. On a exploré l'un trouvant qu'aucun uf n'avait été pondu. La guêpe avait montré un comportement ovipositif envers un autre hôte sans pondre d'uf. Aucun des trente hôtes parasitisés auparavant et qui furent réexposés n'avait été super parasitisé. On avait testé vingt et une hôte et la guêpe avait réagi ovipositivement à neuf d'entre eux sans pour autant pondre d'uf. Il n'y avait pas eu de différence marquante entre la durée moyenne d'un comportement ovipositif des guêpes s'attaquant à des hôtes non-parasitisés (lorsque des ufs avaient été pondus dans tous les cas sauf un) et par celles qui s'étaient attaquées à des hôtes parasitisés (alors qu'aucun uf n'avait été pondu).
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5.
The minimum number of sperm stored in the spermatheca of many individual females of Oncopeltus fasciatus (maintained at 20°–22° C on milkweed seed), estimated from the total count of fertile eggs laid after mating and isolation, is variable (100–1000, mean 400). This variability may result from very slow sperm transfer and the highly variable duration of copulation. Spermatozoa can survive at least 5 months, but the reserve is often completely depleted by egg fertilization. There is no correlation between the number of sperm stored and the egg production rate. The percentage of fertile eggs remains high (95%) while the number of stored sperm is above 100, but then falls linearly; this suggests that fertilization may be monospermic.
Résumé Le nombre d'ufs fertiles et infertiles déposés par des femelles d'Oncopeltus fasciatus, isolées après accouplement, a été compté chaque semaine, en vue d'évaluer la quantité et la longévité des spermatozoïdes stockés dans leur spermathèque. Quand une femelle cesse de pondre des ufs fertiles, un nouveau mâle est introduit afin de vérifier si, après un second accouplement cette femelle peut utiliser un nouvel apport de spermatozoïdes. Les estimations obtenues correspondent à un minimum car il est supposé qu'un seul spermatozoïde est utilisé pour la fécondation de chaque uf.Le nombre moyen de spermotozoïdes stockés a été de 370 pour un lot de 26 femelles, après un seul accouplement, mais on observe cependant une très grande variabilité (100–1000). Cette variabilité peut résulter de la lenteur du transfert des spermatozoïdes au cours de l'accouplement et dépendre ainsi de la durée de l'accouplement. Les spermatozoïdes peuvent survivre au moins 5 mois mais la réserve est souvent complètement utilisée pour la fertilisation des ufs. Il n'y a pas de corrélation entre le nombre de spermatozoïdes stockés et la fécondité. Le pourcentage d'ufs fertiles reste élevé (95%) tant que le nombre de spermatozoïdes en réserve est au-dessus de 100, mais régresse ensuite de façon linéaire audessous de ce nombre. Cela suggère que la fertilisation peut bien être monospermique.
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6.
Egg production under laboratory conditions was examined over the lifespan of Heliothis zea (Boddie) and Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae). Although H. zea oviposits singly and S. ornithogalli oviposits in masses, temporal trends were similar. Egg numbers peaked shortly after mating and then rapidly declined. Egg weights also peaked shortly after mating, but decreased gradually over time. Temporal oviposition patterns were more erratic for unmated than mated females, suggesting the importance of mating in establishing the shape of the oviposition curve.
Résumé La production d'ufs d'Heliothis zea (Boddie) et de Spodoptera ornithogalli Guenée (Lepidoptera: Noctuidae) durant toute la vie adulte a été examinée au laboratoire. Bien que H. zea dépose ses ufs isolément et que S. ornithogalli les dépose en groupes, les courbes temporelles d'oviposition chez des individus fécondés sont similaires. Le nomber d'ufs culmine peu après l'accouplement, puis décline rapidement. Le poids des ufs culmine aussi peu après l'accouplement, puis décroît graduellement. Des femelles fécondées produisent environ deux fois autant d'ufs que les femelles non fécondées, quoique la longévité ne diffère pas significativement entre les deux groupes. Des femelles non fécondées montrent des distributions temporelles plus irrégulières que des femelles fécondées, en ce qui concerne le nombre des ufs et leur poids. Ces irrégularités ont été attribuées à la tendance des femelles non fécondées à retenir leur ufs, ce qui suggère que l'accouplement exerce une influence sur la forme de la courbe temporelle d'oviposition. Des femelles d'H. zea contenant un, deux ou trois spermatophores n'ont pas produit des nombres d'ufs significativement différents.
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7.
The deposition of eggs by this strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) departs from randomness in three ways; eggs are uniformly dispersed, oviposition rates drop when beans begin to carry 2 or more eggs, and there are sharp host preferences. Using random egg placement for the unspecialized condition, these traits are evaluated for their effect on a female's contributions of offspring to the next generation (R0, the net reproductive rate). The major increases in R0 result from females dispersing eggs so uniformly that larval competition is either reduced or eliminated. Females reduce their oviposition rate when the larva from an egg added to a bean is almost certain to die in competitive encounters. Host preferences and larval survival in a host are positively associated with the abundance of the host in South India. The three oviposition traits act together to give and R0 that is 25–50% than that of eggs placed at random. These traits are known to be variable and heritable, hence, the conditions necessary for natural selection are statisfied.
Résumé Le taux partiel de reproduction nette (R inf0 sup* ) dépend de l'espèce de la plante sur laquelle les ufs sont pondus et du nombre de larves entrant dans la graine. La survie larvaire est réduite par 1/(le nombre de larves par graine) parce qu'une seule larve se développe dans une graine. La fécondité n'est pas modifiée par la compétition subie par les larves, la mortalité larvaire a l'effet le plus important sur R inf0 sup* . Les femelles éliminent ou réduisent la compétition larvaire en dispersant leurs ufs uniformément et font si peu d'erreurs avec une hyperdispersion que l'évolution d'un comportement plus précis n'accroîtrait R inf0 sup* que de 4% au maximum. Des femelles retournant à une distribution des ufs au hasard provoqueraient une réduction de R inf0 sup* de 25% au moins.Les légumineuses généralement cultivées dans l'Inde du Sud sont des hôtes acceptables quand elles sont présentées seules. Le choix des femelles entre 2 hôtes élève R inf0 sup* de 30% ou plus par rapport à une distribution au hasard. Les préférences les plus nettes concernent des combinaisons présentant la plus grande différence de R inf0 sup* . Les femelles qui hyperdispersent leurs ufs, choisissent leurs hôtes et évitent les pertes par compétition en empêchant que les ufs ne donnent plus de descendants que ne le ferait une ponte au hasard.Les particularités de la ponte sont variables et héritables. Les lignées se sélectionnent bien, en fonction de la dispersion de leurs ufs sur les graines, de la discrimination des plantes hôtes, et de la modulation de leur taux de ponte. La sélection naturelle maintient ces particularités du comportement d'une façon sédentaire.
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8.
Observations were made on the calling behaviour of virgin female Epiphyas postvittana, and on associated factors. The amount of calling varied with the age of the female, the longest total durations being on days 2 and 6 of adult life and the shortest on day 4. It is probable that the peak of activity occurs on day 2. The pattern of calling on day 6 was abnormal, probably as a result of the onset of senescence.Total pheromone content and the number of mature eggs in the ovary also varied with age. The pheromone content increased until day 5 and then dropped sharply — probably again due to senescence — and the number of mature eggs increased until days 3 and 4. The number on day 4 was not significantly different from that on day 3, but the high variance on day 4 indicated some females had oviposited. A 2-hour call by day-3 females caused a substantial drop in total pheromone content.
Résumé Des femelles vierges d'Epiphyas postvittana sont étudiées pour déterminer l'influence de l'âge sur les manifestations d'appel sexuel, sur la teneur en phéromone et sur la maturation des ufs. L'appel sexuel qui se reconnaît à l'abaissement et à l'incurvation de l'abdomen vers l'avant ainsi qu'à l'éversion des glandes à phéromone, n'est pas continu chaque nuit mais se répartit en nombreuses périodes dont la durée peut varier de 5 minutes à 2 heures.La manifestation de l'appel sexuel varie avec l'âge; les plus longues durées s'observent au 2e et au 6e jour de la vie imaginale, les plus courtes au 4e jour. Ces variations dans la durée totale résultent des changements qui interviennent d'un jour au suivant dans la longueur des périodes d'appel, dans le nombre de ces périodes et du pourcentage des femelles actives. Il est probable que le pic d'activité se situe à l'âge de 2 jours, l'aspect anormal de l'appel à l'âge de 6 jours étant dû à un début de sénescence.La teneur totale en phéromone de femelles âgées de 1 à 11 jours est étudiée par des tests biologiques utilisant les extraits bruts à l'éther des glandes à phéromone. Cette teneur s'accroît de façon significative jusqu'au 5e jour et diminue brusquement au 6e jour. La teneur en phéromone reste alors approximativement à ce bas niveau. Cette diminution est sans doute une autre indication du début de la sénescence.On a étudié la quantité de phéromone perdue par les femelles pendant une période d'appel. L'activité d'un extrait de femelles âgées de 3 jours et fait au début de leur 1ère période d'appel est comparée avec un extrait réalisé sur des femelles qui ont manifesté un appel sexuel pendant 2 heures. Après 2 heures d'appel la teneur en phéromone est tombée au 1/5 de la teneur initiale.L'examen des ovaires de femelles vierges âgées de 1 à 4 jours montre que le nombre d'ufs mûrs s'accroît jusqu'aux 3e et 4e jour. Bien que le nombre d'ufs pour chacun de ces 2 jours ne diffère pas de façon significative, les variances, elles, le sont. La haute variance observée au 4e jour comparée avec la faible variance du 3e jour, indique que la ponte a commencé. Des observations directes montrent que les femelles vierges commencent à pondre 1e 4e jour.
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9.
Résumé L'activité maximale de ponte des femelles vierges de Diadromus pulchellus Wsm., pourvues en hôtes 24 h après leur émergence, est atteinte au 9ème jour. Comme les femelles inséminées, les femelles vierges ont tendance à concentrer les pontes sur un même hôte car dans nos conditions expérimentales, un tiers des hôtes parasités ont été superparasités. Ce superparasitisme entraîne une perte de 31,1% des ufs émis. Les maximum d'hôtes parasités et superparasités sont atteints au moment de la plus forte activité de ponte.L'équivalence des effectifs des descendances théoriques (calculées à partir du nombre d'ufs sains émis) et des descendances réelles de femelles vierges, signifie d'une part, que, comme chez tous les hyménoptères à parthénogénèse arrhénotoque, les larves mâles issues d'ufs infertilisés sont hautement viables et d'autre part, que la larve victorieuse du combat larvaire atteint dans la majorité des cas le stade adulte libre.
Summary This study of the egg-laying behaviour of virgin females of D. pulchellus shows the relations between fecundity, superparasitism and the number of progeny.The highest egg-laying activity of the D. pulchellus virgin females, allowed access to their hosts (Acrolepiopsis assectella) 24 hr after emergence, was observed on the 9th day. In our experimental conditions, where each female was allowed access to five hosts, renewed daily, for 25 days, three quarters of the hosts available were actually parasitised. As with the fertilized females, the virgins tend to concentrate their eggs on the same host, so that a third of the parasitised hosts were superparasitised, causing a loss of 31,1% of the eggs laid.The greatest numbers of parasitised and superparasitised hosts were reached during the period of maximum oviposition.The equivalence of the theoretical number of progeny (based on the number of healthy eggs laid) and the actual progeny, shows that the survivors of larvae, competing in the same host, generally reach the free imaginal state.
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10.
Summary Mated workers have replaced the queen as the functional egg-layers in several species of ponerine ants. In such queenless species, the reproductive status of workers can only be determined through ovarian dissections. However, the presence of yolky oocytes is not necessarily an indication of active egg-laying.InRhytidoponera sp. 12, a substantial proportion of the workers confined underground have many large yolky oocytes in their ovaries. Examination of various details of oogenesis (size and appearance of basal oocytes, ...) revealed that oocytes do not mature in unmated workers, and that they accumulate in the ovaries. In the 21 mated workers found in a colony excavated in October 1985, there were fewer large yolky oocytes, and the dense accumulations of yellow bodies indicated that eggs were laid regularly. Thus reproductive differentiation among the workers is controlled by insemination. The lack of egg-laying activity by unmated workers was confirmed by monitoring brood production in the laboratory. Trophic eggs do not seem to exist. Various characteristics of worker reproduction in ponerine ants are discussed.
La division des rôles reproducteurs chez Rhytidoponera espèce 12, une fourmi Ponérine sans reine
Resume Des ouvrières fécondées ont remplacé la reine (dans sa fonction de pondeuse) chez plusieurs espèces de fourmis ponérines. Dans ces espèces sans reine, l'état reproductif des ouvrières ne peut être déterminé qu'avec la dissection des ovaires. Cependant, la présence d'ovocytes en vitellogenèse n'indique pas nécessairement qu'il y ait ponte d'ufs.ChezRhytidoponera espèce 12, une grande proportion des ouvrières actives à l'intérieur du nid ont beaucoup d'ovocytes en vitellogenèse dans leurs ovaires. L'examen de certains détails de l'ovogenèse (taille et apparence des ovocytes basaux...) a démontré que les ovocytes ne mûrissent pas chez les ouvrières non fécondées, et qu'ils s'accumulent dans les ovaires. Chez les 21 ouvrières fécondées trouvées dans une colonie déterrée en Octobre 1985, il y avait moins de gros ovocytes en vitellogenèse, et les accumulations denses de corps jaunes indiquaient que les ufs étaient pondus régulièrement. Donc la séparation des rôles parmi les ouvrières est contrôlée par la fécondation. L'absence de ponte par les ouvrières non fécondées a été confirmée par l'étude du développement du couvain dans des groupes de fourmis au laboratoire. Les ufs trophiques ne semblent pas exister. Certaines caractéristiques de la reproduction ouvrière chez les fourmis ponérines sont discutées.
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11.
The oviposition response of Cryptophlebia leucotreta (Meyrick) (Lepidoptera: Tortricidae) to healthy navel and Valencia orange, Citrus sinensis (L.), fruit was measured in experimental orchards at Nelspruit, eastern Transvaal, South Africa, and was compared with the response to prematurely ripened fruit and injured fruit. Both premature ripening and injury increased the number of eggs laid on these fruit. Damaged fruit was almost twice as attractive as ripe fruit if the number of eggs laid can be used as a measure of attraction. Large wounds were no more stimulating than small lesions. The quantity of stimulus was not statistically significant, yet five or ten treated fruit in a cluster led to more egg-laying per fruit than a single treated fruit. More eggs were observed on healthy fruit within 50 cm of clusters of treated fruit than on healthy fruit on different trees, but this effect was not statistically significant.
Résumé La ponte de c. leucotreta Meyrick (Lep.; Tortricidae) sur oranges (Navel et Valencia) saines a été évaluée dans des vergers expérimentaux de Nelspruit à l'est du Transvaal, en Afrique du Sud. Elle a été comparée à la ponte observée sur des fruits prématurés ou endommagés. Ces deux dernières situations ont augmenté l'effectif d'ufs pondus sur les fruits; si le nombre d'ufs pondus est utilisé comme critère d'attraction, les fruits endommagés étaient presque deux fois plus attractifs que les autres. La taille des blessures est sans effet. Des fruits ont été artificiellement endommagés ou conduits prématurément à maturité avec un badigeon d'acide 2-chloréthylphos-phorique. Ces stimului n'ont pas eu d'effet cumulatif significatif; pourtant la ponte était plus importante sur des paquets de 5 ou 10 fruits artificiellement modifiés, que sur des fruits modifiés isolés. Une ponte plus importante a été observée sur des fruits sains à moins de 50 cm d'un groupe de fruits modifiés. Il est probable que des signaux visuels et olfactifs orientent la découverte du fruit par la tordeuse. Ces résultats suggèrent que les substances volatiles ont plus d'influence que la couleur ou la taille du fruit.La protection contre cet insecte devrait comprendre l'élimination des fruits mûris prématurément ou abîmés, mais il faudrait préciser si les fruits endommagés sont ou non découverts par hasard. La concentration des pontes sur et autour de ces fruits peut aussi réduire les pontes dans le reste du verger.
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12.
New strains of O. fasciatus, reared at 30°C either on seeds of sunflower (strain S) or mixed sunflower and cashew nuts (strain CS), were used. Females of wild (+) or mutant (wb) genotype were mated in various sequences with + males (some of them chemosterilized or castrated) or wb males. Eggs of each clutch laid were counted and characterized as: infertile, or non-viable (apparently fertile but unable to hatch), or hatching into + or wb nymphs. Mating with a second male (except a castrate) causes partial or complete replacement of the spermathecal store of spermatozoa provided by the first male. A model of the replacement mechanism is proposed, which suggests that a volume of semen five times greater than the capacity of the spermatheca must be transferred by the male to cause the complete disappearance of the previous store of sperm.In the absence of males, or in the presence of castrate males, fertile eggs may be laid for at least 5 weeks but in most cases the store of sperm becomes exhausted sooner. The minimum store of sperm (estimated from the total count of viable eggs) is highly variable (40–400, mean 180). The percent of viable eggs in successive egg-clusters declines proportionately as the sperm store is reduced from 60 to 0.
Résumé En vue d'analyser les conséquences d'accouplements successifs chez Oncopeltus fasciatus, on a utilisé des femelles de deux souches: l'une de type sauvage (+), l'autre correspondant à un mutant à corps blanc (wb, mutant autosomique récessif). Ces femelles subissent des croisements alternés avec les mâles de l'une ou l'autre souche; en outre, certains mâles utilisés étaient soit castrés chirurgicalement (effet de l'accouplement sans transfert de sperme), d'autres avaient subi une application topique d'un chimiostérilisant (tetramine) pouvant donner des ufs fécondés, mais non viables.L'accouplement avec un second mâle (sauf un castré) provoque le remplacement partiel complet dans la spermathèque du stock de spermatozoïdes issu d'un premier mâle. Un modèle du mécanisme de remplacement est proposé selon lequel un volume de sperme 5 fois plus grand que la capacité de la spermathèque devrait être introduit par le second mâle pour assurer la disparition complète du dépôt précédent.En l'absence d'accouplement renouvelés, ou en présence de mâles castrés la ponte d'ufs fécondés peut durer au moins 5 semaines, mais dans la plupart des cas le dépôt de spermatozoïdes s'épuise plus tôt. Le stock minimum de spermatozoïdes, estimé d'après le nombre total d'ufs viables, est très variable (40–400, moyenne 180). Le pourcentage d'ufs viables dans les pontes successives diminue proportionnellement à la réduction de ce stock au-dessous d'un minimum de 60.
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13.
The distribution and biology of Tribolium castaneum Herbst on temperature gradients varying in steepness was studied. It was found that the distribution of adults, eggs and pupae differed markedly on a shallow (0.08° C per cm) and steep (0.23° C per cm) gradient. However, this was not the case for the egg to adult developmental period, survival and eclosion pattern of adults. Clearly, some difference between adult distributions, or egg distributions, in gradient environments does not necessarily result in a noteworthy difference in biology though this possibility is not precluded.
Résumé On a étudié la distribution et la biologie de Tribolium castaneum dans des gradients de température de pente variable. Il a été trouvé que la distribution des adultes, des ufs et des nymphes varie de façon importante dans un gradient peu rapide (0,085° C/cm) et dans un gradient rapide (0.238° C/cm). Cependant ce ne fut pas le cas pour la période de développement depuis l'uf jusqu'à l'adulte, la survie et le rythme d'éclosion des adultes. Evidemment, quelque différence dans les distributions des adultes, ou des ufs, dans des gradients de l'environnement, ne se traduit pas nécessairement par une différence remarquable dans la biologie bien que cette possibilité ne soit pas exclue.
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14.
A considerable amount of work has been recently devoted to the study of progeny allocation strategies by insect parasitoids under different environmental constraints (see Waage, 1986, for a review). All these studies present each of the oviposition strategies (e.g. number of eggs laid per host, superparasitism) as a phenomenon which is progressively settled by natural selection during the course of generations. However, this optimal progeny allocation theory is conceivable only if the variation in wasp's biological traits involved are under a genetic control on which natural selection could act. We have decided therefore to look for a genetic variability in these traits in a Trichogramma maidis Pintureau & Voegelé (Hym.; Trichogrammatidae) population.Based on histological staining which allows to count the number of Trichogramma eggs deposited in each host (Ephestia kuehniella Zeller), we compared different wasp isofemale lines (i.e. families) each of which was submitted to different conditions (i.e. parasite/host ratios).The results show that the control of superparasitism seems to be genetically determined. This appears true both for the average number of eggs deposited in each host, and for the frequency distribution of wasp eggs among hosts.The evolutionary consequences of such results and their possible applications in order to improve the wasp's mass-rearing conditions are discussed.
Résumé Récemment, de nombreux travaux ont été publiés dans le but de mieux comprendre les différentes stratégies de reproduction (i.e. répartition de la progéniture parmi les hôtes) présentées par les insectes parasitoides sous différentes contraintes environnementales (cf. Waage, 1986, pour une synthèse). L'ensemble de ces travaux considère chacune de ces stratégies (e.g. nombre d'ufs déposés par hôte, décision de superparasiter) comme un phénomène progressivement mis en place par la sélection naturelle au cours des générations. Ceci n'est cependant concevable que si les caractères biologiques en cause chez les parasites sont sous la dépendance d'une variation génétique sur laquelle la sélection naturelle peut agir.Les expériences présentées ici ont donc eu pour but de voir si ces caractères sont effectivement déterminés génétiquement dans une population de Trichogramma maidis Pintureau & Voegelé (Hym.; Trichogrammatidae).Grâce à l'utilisation d'une coloration histologique qui permet de compter le nombre d'ufs de trichogrammes déposés dans chaque hôte, différentes lignées isofemelles (i.e. familles) ont été comparées, et ce selon différentes conditions expérimentales correspondant à différentes valeurs du rapport nombre de femelles parasites sur nombre d'hôtes offerts.Les résultats obtenus motrent que le phénomène du superparasitisme semble être déterminé génétiquement. Ceci est constaté aussi bien au niveau du nombre moyen d'ufs de trichograme déposés par hôte, que dans les caractéristiques des distributions des ufs de parasites parmi les hôtes.Les conséquences évolutives de tels résultats, ainsi que leurs applications possibles dans le but d'améliorer les conditions d'élevage de masse de ces insectes, sont discutées.
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15.
Dacus tryoni (Frogg.) (Diptera: Tephritidae) is the main tephritid pest of cultivated fruits in Australia. D. jarvisi (Tryon) is also able to infest these fruits. Some factors influencing the rate at which D. tryoni and D. jarvisi exploit patches of host fruits were examined to determine whether one species may have an advantage when they exploit the same fruits in the field. Measurements of the intrinsic rate of increase, ovariole number, clutch size and egg size and the influence of body size on these parameters were made for both species in the laboratory. Up to 10 weeks of age D. tryoni produced twice as many eggs as D. jarvisi, most during a peak 3–5 weeks after adult emergence. The difference in fecundity up to 10 weeks can be explained partly by the higher number of ovarioles in D. tryoni (38/ovary) compared to D. jarvisi (27/ovary). In addition D. tryoni produces smaller eggs than D. jarvisi and distributes them in smaller clutches; 3–4 eggs/clutch vs 10–15. In both species there was a positive correlation between ovariole number and body size (as measured by wing length). By contrast, egg size remained constant over a broad range of body sizes. The influence of these life history differences on the interaction between D. tryoni and D. jarvisi in the field is discussed.
Résumé D. tryoni Frogg est la principale téphrididae nuisible aux fruits cultivés en Australie. Cependant, plusieurs autres espèces de Dacus, dont D. jarvisi Tryon sont susceptibles de contaminer ces fruits. Quelques facteurs influant sur le taux de contamination de fruits ont été examinés pour déterminer si une espèce peut être avantagée lors de l'exploitation des mêmes fruits dans la nature. L'influence de la taille de l'adulte sur le taux d'accroissement intrinsèque, sur le nombre d'ovarioles, sur l'effectif des pontes et sur la taille des ufs a été examinée au laboratoire sur les 2 espèces. Pendant les 10 premières semaines, D. tryoni produit 2 fois plus d'ufs que D. jarvisi, la plupart étant pondus entre la 3e et la 5e semaines après l'émergence. La production de D. tryoni diminue rapidement après ce maximum. D. jarvisi ne présente pas ce maximum précoce, et la production des ufs se fait au même rythme entre les 3e et 7e semaines, avant de diminuer graduellement. La différence de fécondité au bout de 10 semaines peut être expliquée partiellement par le plus grand nombre d'ovarioles de D. tryoni (38/ovaire) contre 24/ovaire pour D. jarvisi. De plus, D. tryoni forme des ufs plus petits que D. jarvisi et l'effectif de chacune de ses pontes est plus limité: 3 à 4 ufs contre 10 à 15. Chez les deux espèces, il y a une relation directe nette entre le nombre d'ovarioles et la taille du corps de la femelle (mesurée par la longueur de l'aile). Par contre, la taille des ufs est indépendante d'une grande gamme de tailles du corps des femelles. Les caractéristiques biologiques de D. tryoni le rendent capable de contaminer rapidement les bouquets de fruits qu'il vient de coloniser, ce qui réduit les disponibilités pour les autres espèces susceptibles de contaminer ces fruits. Dans le cas particulier de D. jarvisi, D. tryoni a peu d'impact sur son niveau de population, puisque D. jarvisi peut exploiter aussi son hôte d'origine, Planchonia careya: Il ne tend à entrer en compétition avec D. tryoni que pour une ou deux générations tardives en été, quand l'hôte partage (la goyave) est souvent abondant. Néanmoins, si les fruits sont rares à cette époque ou si les 2 espèces sont obligées de partager leurs hôtes pendant plusieurs générations (hors de l'aire de Planchonia), D. tryoni aura un avantage certain.
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The fecundity of the South India strain of Callosobruchus maculatus (Fab.) (Bruchidae: Coleoptera) is 73 eggs for females developing in 31 days and increases to 94 eggs for females emerging after 41 days. Fed females lay 45–55 more eggs which is the egg-equivalent of the reserves unfed females had to sacrifice for activity. Competition as a larva did not reduce a female's fecundity. Oviposition is inhibited when females are given 25 or fewer beans for oviposition and it is reversed if females find fresh beans. Oviposition is generally released by beans carrying a below average number of eggs, thus, the eggs are almost uniformly distributed over the beans. Eggs are preferentially placed on the largest egg-free beans as expected if oviposition is released when a beetle goes from a smaller to a larger bean. The cues resulating host preferences, cowpea > mung pigeonpea chickpea, are secondary to the cues producing hyperdispersion and the selection of larger beans. We present a model for the oviposition behavior that accounts for the observed responses to species, size, and egg load of oviposition sites.
Résumé La fécondité de femelles isolées avec un mâle, sans aliment ni eau, et laissées sans perturbation avec 50 graines au moins sert de fécondité standard. Elle augmente avec le temps de développement de l'uf à l'adulte de 73 ufs (32 j) à 94 ufs (44 j). La fécondité potentielle, obtenue avec des femelles alimentées sur sucre est de 125 ufs. Des femelles maintenues avec moins de 25 graines réduisent leur fécondité.Plus de la moitié des femelles distribuent leurs ufs uniformément jusqu'à une densité de 1,5 uf. L'uniformité peut provenir de l'induction de réactions de ponte par les graines portant moins d'ufs que l'effectif moyen. L'hyperdistribution au dessus des densités de 3 ufs/graine révèle l'aptitude à distinguer les graines avec 3 ufs des graines avec 4 ufs. Il y a moins d'écarts par rapport à l'uniformité (erreurs) avec des graines à surface rugueuse. Des femelles avec 10 graines font moins d'erreurs que des femelles avec 50 ou 100 graines.Les ufs sont ajoutés aux plus grosses graines sans ufs; ainsi, plus il y a de graines qui portent des ufs, plus le poids des graines avec ufs diminue. Un tel schéma est prévisible si la ponte est induite par des graines plus grosses que les graines rencontrées précédemment. Les femelles présentent un ordre de préférence clair quand elles sont en rapport avec leurs hôtes classiques: Vigna unguiculata > V. radiata > Cajanus cajan > Cicer arietinum Les caractères spécifiques de l'hôte, plutôt que la taille ou la texture de la surface servent à la distinction entre les graines d'un même hôte.Ces résultats expérimentaux peuvent être utilisés pour la modélisation du comportement de ponte d'une femelle.
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A study of sampling variability in field populations of the Colorado potato beetle, Leptinotarsa decemlineata (Say), on tomato in eastern Ontario, showed that inter-plant variance was the major source of variation for eggs and larvae, and that intra-plant variance was the major source for adults. For eggs and larvae, the most appropriate sample unit was the basal one-sixth of the plant with its foliage or fruit. For adults, it was preferable to take the whole plant. The number of plants required for reliable population estimates was inversely proportional to population density; this relationship was graphed for three levels of sampling precision (10%, 15%, and 20% standard error).
Résumé Dans le but d'expliquer pourquoi le Doryphore est un ravageur de peu d'importance pour la tomate, des études de populations ont été entreprises dans l'est de l'Ontario en 1968. L'objet était de réaliser des tables de vie écologiques et d'élucider le ou les facteurs qui sur tomate agissent sur les populations de l'insecte. Ce travail rapporte la variation entre les échantillons pour les différents stades de développement et se base sur l'étude de ces faits pour concevoir une méthode d'échantillonnage pour l'estimation des populations et de leur mortalité.L'analyse de variance montre que la variance entre les plantes hôtes est la source principale de la variation du nombre d'ufs et de larves, et que la variance à l'intérieur de l'échantillon de plante-hôte était à l'origine de la variation observée dans le nombre d'adultes.Pour les ufs et les larves l'unité d'échantillonnage la plus favorable est la partie basale de la plante avec son feuillage et ses fruits, représentant 1/6 de l'individu entier. Pour les adultes il est préférable de prendre la plante entière. Le nombre des plantes nécessaires pour aboutir à des estimations valables est inversement proportionnel à la densité de population; ces relations ont été traduites en graphiques pour 3 niveaux de précision de l'échantillonnage (10%, 15% et 20% de l'erreur standard). Dans les conditions des populations existantes il a été montré qu'un homme travaillant 40 heures/semaine pourrait recueillir et examiner un nombre suffisant d'échantillons pour obtenir une précision de 15%.


Contribution No. 338, Ottawa Research Station.  相似文献   

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Both synthetic cecropia juvenile hormone (I) and the juvenile hormone mimic substance 1-(4-ethylphenoxy)-6,7-epoxy-3,7-dimethyl-2-octene (II), possess ovicidal activity against freshly laid eggs of the cabbage maggot, Hylemyia brassicae. Topical application of both products to last-instar larvae and young pupae prevents the adults escaping from the puparium. Mixing the hormone substances with the liquid food of the adults, or topical application to adults, even in very high concentrations, does not influence fecundity or fertility.
Résumé L'hormone juvénile synthétique (I) (3, 11-diméthyl 7-éthyl 10-époxy 2,6-tridécadiénoate de méthyle, isomère E, E, Z) et le mimétique de l'hormone juvénile (II) (1-(4-éthylphénoxy)-6,7-époxy-3,7-diméthyl-2-octene) possèdent une action ovicide sur les ufs fraîchement pondus de la mouche du chou (H. brassicae (Bouché)). Le dernier produit semble avoir une action ovicide plus prononcée. Les deux produits semblent également avoir un effet répulsif vu que le nombre moyen d'ufs pondus par femelle diminue quand la concentration augmente.Une application topique sur les larves du dernier stade et sur les pupes, inhibe l'émergence des imagines qui n'accusent pourtant aucune malformation. Cinq g (II) par larve empêchent l'éclosion de 90% des imagines; dix g (II) par pupe inhibent totalement l'émergence.Le mélange du produit (II) à l'alimentation ou une application directe sur la mouche adulte n'influence ni la fécondité ni la fertilité.
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Summary Aphidius rhopalosiphi produced 212 offspring on average but in one case 509 deposited eggs were found. Superparasitization occurred but the frequency distribution of parasitoid larvae in aphids differed significantly from random, indicating a certain degree of host discrimination. Average life span of adults was 13.1 days and sex ratio was 1:1. It changed in time among successively produced offspring.Handling time was about 2 sec and was somewhat longer in the fourth instar than in the second. Second and third aphid instars were preferred for oviposition. Functional response was sigmoid and at an aphid density of 100 aphids per cage percentage parasitization decreased.
Résumé Nous avons examiné quelques aspects des relations entre le parasitoïde Aphidius rhopalosiphi et son hôte Sitobion avenae. La fécondité potentielle à l'émergence (144 ufs) était inférieure à la fécondité réalisée: nombre de pucerons momifiés (212). La plupart des ufs étaient pondus dans la première semaine de la vie imaginale (fig. 1). Le super-parasi-tisme s'est produit dans les conditions expérimentales, mais la distribution des larves (fig. 2) s'écartait souvent de la distribution au hasard, ce qui indiquait une certaine discrimination parmi les hôtes.La longévité moyenne était de 13,1 jours et le maximum de 23 jours. Le taux sexuel (fig. 3) pour l'ensemble de la descendance était 1/1, mais changeait dans le temps. Après le premier jour de ponte, plus de femelles que de mâles étaient obtenues; mais après 6 jours, il n'y avait presque plus que des mâles.Le taux de rencontre des aphides et des parasitoïdes augmentait avec la taille (fig. 4a). Le temps de prospection de l'hôte était en moyenne de 2 secondes, mais dans certains cas il atteignait 10 secondes ou plus. La proportion de rencontres efficaces était plus faible au 4ème stade (fig. 4b). Il n'y avait pas de différence significative dans le nombre de larves de parasitoïdes obtenues par rencontre pendant les stades 1 à 3 des pucerons, mais elle était significativement inférieure au 4ème stade par rapport au second. Les taux globaux de succès (taux de rencontre et nombre de larves formées par rencontre) étaient plus élevés aux 2ème stades des pucerons. La réponse fonctionnelle était sigmoïde (fig. 5).
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Field observation indicated thatA. bibens is an important predator of severalTetranychus-species in parts of Madagascar. Its dependence on water for drinking was demonstrated; this feature limits its presence to more humid biotopes. Its importance in the irrigated areas of the dry southwest is stressed.A. bibens proved capable of eradicating.T. urticae on potted bean plants. Predation and oviposition of the predator were tested with various densities of adult femaleT. urticae. At the lowest densities tested, predation was limited by the availability of the prey, which also resulted in a lower oviposition rate at these densities. At more moderate densities (of around 32 prey/7 cm2) an increase in prey egg consumption made up for a decrease in adult prey consumption, indicating that spider mite eggs are suitable food for this predator. At high densities eggs were ignored and adult prey were killed and at highest densities more were killed than were actually needed for food. The effect of alternate feeding on eggs and an interference stimulation component are claimed to explain the unusual functional response curve ofA. bibens. The results imply that, under natural conditions,A. bibens feeds primarily on spider mite eggs, but shifts towards adult prey consumption with increasing prey densities.
Résumé Des observations dans la nature montrent queA. bibens est un important prédateur de plusieurs espèces deTetranychidae dans certains secteurs à Madagascar. Son importance dans les zones irriguées du sud-ouest aride est mise en évidence, ce qui résulte des besoins pour cette espèce d'eau alimentaire, ce facteur limitant sa présence aux biotopes les plus humides. A. bibens se montre capable d'éliminerT. urticae sur les cultures de pois. Le taux de prédation et d'oviposition du prédateur ont été testés en rapport aux diverses densités de la proie,T. urticae. Aux densités les plus faibles la prédation est limitée par la disponibilité en proies, ce qui entraine également une réduction de la fécondité. Pour des densités moyennes (de l'ordre de 32 proies/7 cm2) on observe une consommation préférentielle des ufs deTetranychidae et une moindre consommation des adultes. Pour des densités élevées, par contre, les ufs sont délaissés et ce sont les adultes qui sont consommés, enfin par des densités encore plus fortes, le prédateur détruit plus de proies adultes qu'il n'en peut consommer.L'effet d'une, alimentation de substitution sur les ufs de la proie et l'interférence d'un facteur stimulant sont envisagés comme éléments explicatifs de la réponse inhabituelle d'A. bibens. Cela implique que dans les conditions naturellesA. bibens se nourrit en premier lieu sur les ufs deTetranychidae, mais transfert sa préférence sur les proies adultes quand la densité de ces derniers s'accroît.
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