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1.
Résumé La croissance et la conidiogenèse des souches ( + ) IMI 101 693 et (–) 101 695 de Trichophyton simii sont comparées à diverses températures (de 20 à 40 °C), à des pH variés (entre 4 et 9) et en fonction de la concentration en glucose (20 à 100 g/l) ou d'autres substrats glucidiques (10 g/l). Bien que pour les deux souches le développement soit optimal entre 25 et 33 °C, à pH 6 ou 6, 5 et en présence de 10 g de glucose par litre de milieu nutritif, la souche (–) croît toujours plus lentement que la souche (+); la conidiogenèse est bloquée par le saccharose dans la souche (–), par le lactose dans la souche (+).
Summary Growth and conidiogenesis of the (+) IMI 101 693 and (–) IMI 101 695 strains of Trichophyton simii were compared at several temperatures (20 to 40 °C) and various pH (pH 4 to 9) and were correlated with the concentration of glucose (20 to 100 g/l) or other glucidic substrates (10 g/l). Although the development of both strains was optimal between 25 to 33 °C at pH 6 and with 10 g/l of glucose, the (–) strain always growed less than the (+) strain. Conidiogenesis was inhibited by sucrose in the (–) strain and by lactose in the (+) strain.
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2.
Resume 14 activités enzymatiques (3 deshydrogénases et 11 hydrolases) ont été recherchées systématiquement sur les électrophorégrammes en gel d'agar des extraits de 2 souches de Aspergillus fischeri et de 14 souches de A. fumigatus (8 isolées de lésions humaines ou animales intitulées souches pathogènes, et 6 souches d'origine saprophytique). La composition enzymatique de A. fumigatus est apparue très polymorphe et sans rapport avec l'origine des souches.D'autre part, l'analyse immunoélectrophorétique de ces extraits antigéniques, par des sérums de lapins hyperimmuns et des sérums de malades atteints d'aspergillose, a montré que l'activité chymotrypsique de type II, supportée par l'arc C, est caractérisée de manière plus fréquente et plus intense lorsque les antigènes provenant de souches pathogènes sont opposés à des sérums de malade.De plus, si cette activité chymotrypsique est révélée avec la même fréquence par une souche saprophyte et une souche pathogène, le nombre de précipitines mises en évidence est apparu significativement plus élevé avec cette dernière.Les antigènes utilisés pour le diagnostic de précipitation en gel devraient donc être, de préférence, extraits de souches pathogènes et leur qualité évaluée par des sérums de malades atteints d'aspergillose.  相似文献   

3.
Résumé Dans 4 familles où se trouvait un malade atteint de poliomyélite on a examiné les sérums de la phase aiguë et de la phase de convalescence des malades et des autres membres de famille pour chercher la présence d'anticorps neutralisant trois souches du virus poliomyélitique (Lansing, SK et MM) et le virus de la chorioméningite lymphocytaire. Dans deux familles au moins, les recherches indiquent que les anticorps contre la souche Lansing ne se forment que comme conséquence spécifique d'une infection, éventuellement asymptomatique, par un virus poliomyélitique d'une structure antigène apparentée à celle de la souche Lansing. Dans une famille le sérum de la phase aiguë d'un malade et le sérum de sa mère, contenaient des anticorps tandis que le sérum de son père et d'une soeur ne neutralisait pas la souche Lansing. Dix semaines après, les sérums du père et de la soeur avaient obtenu un pouvoir neutralisant contre cette souche, bien que ni l'un ni l'autre n'aient été malades. Ceci pourrait indiquer la possibilité d'une infection par contact direct dans la famille.  相似文献   

4.
Résumé Les auteurs ont isolé plus de 700 souches de bactéries lactiques à partir de raisins, de moûts, de vins de diverses origines et à différents stades de conservation. Ils étudient ici 253 souches de bacilles hétérofermentaires, dans le but d'établir une classification simple et un catalogue permettant un repérage facile des souches.Il est commode de classer les souches d'après la fermentation des pentoses, en raison de la netteté de ces tests, alors que parfois ceux appliqués à d'autres sucres ont des caractères moins tranchés. On retrouve alors la classification qui avait été déjà donnée par Vaughn, Douglas et Fornachon en 1949.Les bacilles pentoses négatifs (26 souches) forment l'espèce Lactobacillus fructivorans. Ceux qui font fermenter seulement l'arabinose (4 souches) ou seulement le xylose (155 souches) correspondent respectivement à Lactobacillus desidiosus et à Lactobacillus hilgardii. L'espèce Lactobacillus brevis comprend les bacilles pentoses positifs (68 souches).
A study of two hundred and fifty strains of lactic acid bacteria
Summary The authors have isolated more than 700 strains of lactic acid bacteria found in grapes, musts and wines of various origins and at different states of conservation. They study in this work 253 strains of heterofermentative bacilli in order to work out a classification and a catalogue allowing easy identification of the strains.It is convenient to classify the strains from the fermentation of pentoses, on account of the accuracy of these tests, tests on other sugars having sometimes less specific characters. The results are consistant with the classification already established by Vaughn, Douglas and Fornachon in 1949.Pentose negative bacilli (26 strains) constitute the species Lactobacillus fructivorans. The ones which ferment only arabinose (4 strains) or only xylose (155 strains) correspond to Lactobacillus desidiosus and Lactobacillus hilgardii. The pentose positive strains (68) belong to the species Lactobacillus brevis.
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5.
The effects on dietary self-selection of phagostimulation and metabolic feedback from nutrients were seperated by using two unusual carbohydrates alone or in combination: mannitol, which is nutritive but not phagostimulatory for H. zea larvae; and sorbose, which is weakly phagostimulatory but not nutritive. Last instar H. zea larvae recognized and responded positively to mannitol by metabolic feedback when it was included in a diet with casein. When offered a choice of two diets, one containing casein but lacking a utilizable carbohydrate and another lacking casein but including either mannitol or sorbose, they did not self-select for either mannitol or sorbose. However, in a similar experiment, in which the carbohydrate diet contained a mixture of mannitol and sorbose, there was a positive response, demonstrating that both metabolic feedback and phagostimulation are required to elicit self-selection.
Résumé Les chenilles d'H. zea peuvent choisir un mélange nutritif optimal parmi deux régimes séparés, répondant à des besoins alimentaires différents. Cette aptitude à l'autosélection pose la question des voies de sélection d'un régime optimal par l'insecte. L'autosélection est probablement réalisée par un feedback métabolique des aliments; la stimulation sensorielle par les aliments pourrait jouer elle aussi un rôle. Notre objectif est de séparer ces deux facteurs et d'en déterminer l'importance relative.Des L 5 venant de muer ont pu s'alimenter sur 2 régimes nutritionnellement complets, mais dont l'un contenait des carbohydrates (sucrose) mais non des protéines, tandis que l'autre contenait des protéines (caséine) mais non des carbohydrates. L'auto-sélection caséine/sucrose a été 81/19; elle correspond à la portion idéale pour le dernier stade des chenilles H. zea établie lors d'expériences antérieures (Waldbauer et al., 1984a). Pour comparer l'importance relative du feedback métabolique et de la stimulation sensorielle, 2 carbohydrates ont été substitués au sucrose, qui est à la fois nutritif et phagostimulant: le mannitol, nutritif mais ne stimulant pas de prise de nourriture, et le sorbose, faiblement stimulant mais non nutritif. Quand elles ont le choix, les chenilles ne sélectionnent ni mannitol, ni sorbose, mais consomment presque exclusivement le régime alternatif à la caséine. Quand sorbose et mannitol sont mélangés et proposés ensemble, la réponse est positive, montrant que le feedback métabolique et la stimulation sensorielle sont impliqués tous deux dans l'autosélection alimentaire.Des expériences en deux étapes d'autosélection ont montré que le feedback métabolique est de première importance. Dans la première, les chenilles avaient le choix entre caséine seule et caséine et mannitol. Les chenilles ont consommé significativement plus d'aliment avec mannitol que sans carbohydrate, bien que les goûts des deux régimes aient du être identiques, puisque le mannitol n'a pas de goût pour H. zea. La caséine a été vraisemblablement assez phagostimulante pour maintenir suffisamment les chenilles sur l'aliment avec mannitol et ainsi permettre au feedback métabolique du mannitol d'influer sur leur maintien sur cet aliment sans en rechercher un autre.Dans d'autres expériences, les chenilles ont eu le choix entre un régime alimentaire classique avec de la caséinne et d'autres n'ayant plus leur caséine mais avec des quantités décroissantes de sucrose. Elles n'ont pas réagi en consommant plus d'aliments avec du sucrose dilué, mais en consommant plus de caséine. Cependant, si du mannitol, pourtant non phagostimulant, est ajouté à des aliments avec du sucrose dilué pour remplacer le sucrose manquant, les chenilles ne compensent plus en consommant plus d'aliments avec de la caséine, mais de la même façon qu'elles le feraient avec un aliment contenant la concentration adéquate de sucrose, montrant qu'elles perçoivent ainsi le feedback métabolique du mannitol, qui est pourtant sans goût.
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6.
Résumé Les levures Schizosaccharomyces possèdent, entre autres propriétés remarquables, celle de métaboliser l'acide l-malique, provoquant en anaérobiose une fermentation alcoolique: HOOC·CH2 CHOH·COOHCH3CH2OH+2CO2. Au point de vue énergétique cette fermentation ne peut satisfaire la croissance des cellules et est liée à la fermentation du sucre. La présente étude des souches de Schizosaccharomyces se trouvant dans les collections de levures est centrée sur la fermentation de l'acide l-malique.Nous avons étudié dans quelle mesure cette propriété peut servir de base à une classification de ces levures et se trouve en relation avec le milieu d'origine, suivant le concept de «classification naturelle» de Kudrjawzew. En réalité il ne saurait y avoir de distinction d'espèce fondée sur cette propriété entre les Schizos. pombe provenant de fruits à pulpe amylacée des pays tropicaux et les Schizos. acidodevoratus provenant de fruits à pulpe acide des régions tempérées, tous attaquant plus ou moins l'acide l-malique, et ces deux termes doivent être considérés comme synonymes.Certaines propriétés physiologiques ont été étudiées: intensités respiratoire et fermentative, fermentation sélective du glucose et du fructose, produits secondaires formés, besoins en facteurs de croissance, etc. Enfin, on a défini les facteurs de la fermentation de l'acide l-malique par les Schizosaccharomyces, notamment la nature des souches, les conditions de pH, etc. L'étude de fermentations associées révèle la concurrence qu'exerce sur les Schizosaccharomyces la présence des Saccharomyces et illustre la difficulté de modifier la microflore naturelle dans la fermentation d'un milieu naturel.  相似文献   

7.
Pour vingt-deux espèces de levures étudiées, la petite quantité d'acide lactique toujours formée au cours de la fermentation alcoolique du sucre est constituée par l'acided (–), avec des traces d'acidel (+). Par contre, les levuresSaccharomyces veronae forment, suivant les conditions, souvent exclusivement de l'acidel (┌) à des taux élevés et, en tout cas, des quantités toujours nettement supérieures aux autres levures. Observée sur seize souches deSaccharomyces veronae d'origine différente, cette formation d'acidel (├) lactique est un caractère de l'espèce.  相似文献   

8.
Summary The development of fermentation research in Nigeria since independence in 1960 is reviewed. The first section deals with microbiological studies on traditional fermented foods and beverages, in relation to attempts aimed at developing starter cultures, processes and preservation methods for the fermented products, namely gari, foo-foo, ogi, pito, dawadawa and palm wine. Some recent advances are high-lighted, for example, the use of local microbial strains, carbohydrate sources, bittering agents and tropical fruits as appropriate, in beer brewing and wine making, and the use of palm wine in vinegar production. The last section reviews diverse attempts in which local microbial strains and local substrates have been applied to research for development of other fermentation products such as microbial biomass, antibiotics, bioinsecticides, biogas, enzymes and chemicals.
Resumen Se pasa revista al desarrollo de las investigacines sobre fermentación en Nigeria desde la independencia en 1960. La primera parte trata los estudios microbiolicos realizados en alimentos y bebidas que tradicionalmente se fermentan, más especificamente: gari, foo-foo, ogi, pito, dawadawa y vino de palma Se ponen de relieve algunos avances como el uso de cepas microbianas, fuentes de carbohidratos, amargos y frutas tropicales locales para la producción de vino y cerveza, y el uso del vino de palma para la producción de vinagre. La última parte revisa los ensayos en los que se han utilizado cepas microbians y sustratos locales para el desarrollo de otros productos fermentados como biomasa microbiana, antibióticos, bioinsecticidas biogás, enzimas y otros productos químicos.

Résumé Le développement de la recherche en fermentation est passée en revue au Nigéria depuis son indépendance en 1960. La première partie détaille les recherches microbiologiques sur les aliments et boissons fermentés, en relation avec les efforts pour développer les levains, les procédés et les méthodes de conservation des produits fermentés notamment le gari, le foo-foo, l'ogi, le pio, le dawadawa et le vin de palme. Des progrès récents ont mis en lumière, par exemple, l'emploi de souches microbiennes, de sources d'hydrates de carbone, d'agents d'amertume et de fruits tropicaux selon le cas, tous locaux, dans la fabrication de la bière et du vin ainsi que l'usage du vin de palme pour la production de vinaigre. La dernière section passe en revue divers efforts qui ont consisté à appliquer des substrats et des souches microbiennes locaux au développement d'autres produits de fermentation comme la biomasse microbienne, des antibiotiques, des bioinsectisides, le biogaz, des, enzymes et des produits chimiques.
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9.
The diapause biology of the European corn borer (ECB), Ostrinia nubilalis (Hübn.), is described based on natural and controlled environment studies of feral and lab-reared ECB's in North Carolina (NC). The diapause response is described as a function of photophase (h of light/day) as well as a function of larval age (instar) at onset of diapause-inducing conditions. A critical photophase of 14.4 h and a critical mean larval instar of 3.3 is found in the lab studies and supported by three years of insectary studies. Seven years of black light trapping of ECB moths in Goldsboro, NC, revealed the likelihood of up to four moth flights/year.Information about the diapause biology of this insect is used to explain both the number of flights and the relative magnitude of the final moth flights. On average, the majority of ECB lineages pass through three generations/year with early maturing ECB's producing a significant and predictable fourth generation. The timing and magnitude of the fourth flight can be partly explained on the basis of the critical photophase and the timing and age structure of previous ECB generations. In most years, the fourth flight is smaller than the third due to the majority of the fourth generation's predisposition towards diapause. However, in at least one case (1977), the fourth flight was unusually large and could be predicted by slight temporal shifts in the previous three flights resulting in the majority of the fourth generation larvae averting diapause. The value of the ECB-diapause interaction as a model system for the explanation and prediction of dynamic phenological events is discussed.
Résumé La diapause d'O. nubilalis Hubn. est décrite d'après des études en conditions naturelles et programmées de souches sauvages ou élevées au laboratoire en Caroline du Nord. La diapause est décrite comme une fonction de la photophase (heures de jour/24 heures) et du stade larvaire au début des conditions inductrices de la diapause. Une photophase critique de 14,4 h et un stade critique larvaire de 3,3 ont été établis au laboratoire après 3 ans d'études en insectarium. 7 ans de piégeage à la lumière noire à Goldsboro, ont montré la vraisemblance de l'existence de 4 vols par an. Les données sur la diapause de cet insecte sont utilisées pour expliquer tant le nombre de vols que l'importance relative des derniers vols. En moyenne, la majorité des lignées ont 3 générations par an, O. nubilalis précoces produisant une quatrième génération conséquente et prédictible. La data et l'importance du 4ème vol peuvent être partiellement expliquées d'après la photophase critique, et la data et la structure en âge des générations précédentes. La plupart des années, le 4ème vol est moins important que le 3ème par suite de la prédisposition à la diapause de la majorité de la 4ème génération. Cependant, dans un cas au moins, en 1977, le 4ème était anormalement important et pouvait être prédit par de faibles changements temporels dans les 3 précédents vols, détournant de la diapause la majorité des chenilles de 4ème génération. La discussion porte sur la valeur du modèle fourni par la diapause de O. nubilalis pour expliquer et prédire la dynamique des évéments phénologiques.
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10.
Summary A solid state fermentation process is described for the production of citric acid from apple pomace byAspergillus niger NRRL 567. The yields of citric acid varied with the pomace varieties, and were dependent on (1) the amount of methanol present in the pomace, and (2) the fermentation time and temperature. The process yielded as much as 90 g citric acid/kg apple pomace fermented in the presence of 3–4% methanol at 30°C in five days.
Resumen Se describe un proceso de fermentación en estado sólido para la producción de ácido cítrico a partir de residuos de manzana, utilizandoAspergillus niger NRRL 567. La producción de ácido cítrico varió con el tipo de residuo utilizado y dependió de (1) la cantidad de metanol presente en los residuos y (2) del tiempo y la temperatura del proceso. La fermentación puede producir hasta 90 g de ácido cítrico/kg de residuo de manzana, fermentado en presencia de 3–4% de metanol a 30°C de temperatura durante 5 días.

Résumé Le procédé de fermentation en milieu solide qui est décrit est déstiné à la production d'acide citrique à partir du marc de pommes parAspergillus niger NRRL 567. Les rendements en acide citrique varient suivant les variétés de pommes et dépendent: (1) de la quantité de méthanol présente dans le marc, et (2) du temps de fermentation et de la température. On peut obtenir jusqu'à 90 g d'acide citrique par kg de marc de pommes fermenté, en présence de 3 à 4% de méthanol, à 30°C et en 5 jours.
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11.
Summary Strains ofRhizobium phaseoli were evaluated with respect to their ability to grow or survis when subjected to various stresses common to soils of the tropics. These stresses included low pH, high Al and Mn. In liquid culture 10 strains ofR. phaseoli all grew well at pH 5.0, a few strains grew at pH 4.5 and one at pH 4.0. Some strains grew at pH 4.0 after repeated transfer to medium at this pH, but this characteristic remained stable for only one strain, S-442, which combined a tolerance to low pH with an improved tolerance to Al and Mn compared to the parent strain P-442. Survival studies of S-442 and P-442 in three acidic Brazilian soils, at their natural pH (4.2–4.6) and when limed to near neutral pH, showed little difference in numbers after a 21–30 day period. Only a one log cycle decrease in numbers of P-442 occurred in the Erechim soil that had a 185 mol/l Al concentration in the soil saturation extract. Strains ofR. phaseoli were screened for their ability to grow in liquid culture at pH 5.0 in the presence of Al up to 100 mol/l (16 strains) and Mn up to 320 g/ml (13 strains). Strains differed in relative tolerance to both Al and Mn with some strains being capable of excellent growth at the highest concentrations of Al and Mn employed. With the exception ofR. phaseoli (C-12) the ability to tolerate high levels of Mn did not show any relationship to Al tolerance. It was concluded that soil stress factors need not have a serious impact on survival ofR. phaseoli in soils because sufficient variability in tolerance to these factors occurs naturally among strains.
Resumen Se evaluaron cepas deRhizobium phaseoli en relación con su habilidad para crecer o sobrevivir bajo las condiciones de stress que son habituales de suelos tropicales. Estas condiciones comprenden bajos pH y altas concentraciones de Al y Mn. Diez cepas deR. phaseoli crecieron bien, en cultivo líquido, a pH: 5; tan solo algunas lo hicieron a pH: 4.5 y únicamente una cepa creció a pH: 4.0. Aunque varias cepas consiguieron crecer a pH: 4.0, tras transferencias sucesivas a un medio con dicho pH, esta característica solo logró establizarse en la cepa S-442 que combinó esta tolerancia a la acidez con un incremento en la tolerancia a Al y Mn comparada con la cepa parental P-442. Se realizaron estudios sobre la supervivencia de las cepas S-442 y P-442 en tres suelose ácidos del Brasil, en estado natural (pH: 4.2–4.6) y neutralizados con cal. Se observaron pocas diferencias cuantitativas al cabo de un periodo de 21–30 dias un solo ciclo Log de P-442 mostró una disminución numérica en un suelo denominado Erechim que contenía 185 mol/l de Al medido en extracto de pasta saturada. Se estudió la capacidad de cepas deR. phaseoli para crecer en cultivo liquido a pH: 5.0 en presencia de hasta 100 mol/l de Al (16 cepas) y 320 g/ml de Mn (13cepas), algunas de estas cepas fueron capaces de crecer a las máximas concentraciones de Al y Mn utilizadas. ExceptuandoR. phaseoli (C-12) la tolerancia a niveles altos de Mn no estaba correlacionada con la tolerancia al Al. Se concluyó que estos factores edáficos de stress no deberían de tener efecto alguno en la supervivencia deR. phaseoli en suelo, ya que existe una variabilidad natural de tolerancias a dichos factores suficiente para garantizar esta supervivencia.

Résumé Des souches deRhizobium phaseoli ont été téstées pour leur aptitude à se développer et à survivre lorsqu'elles soumises à diverses contraintes habituelles dans les sols tropicaux, c'est à dire des pH acides et à de fortes teneurs en Al et Mn. En culture liquide, 10 souches deR. phaseoli ont toutes poussé à pH 5,0, un petit nombre à pH 4,5 et une seule à pH 4,0. Certaines souches parviennent, après repiquages répétés, à se developper à pH 4,0; mais ce caractère ne s'est stabilisé que dans le cas d'une seule souche (S-442), qui présente à la fois une résistance à l'acidité et une tolérance accrue à Al et Mn par rapport à la souche originelle P-442. L'étude de la survie de S-442 et P-442 dans trois sols brésiliens acides, à leur pH naturel (4,2–4,6) et après chaulage à pH neutre, n'a montré au bout de 21 à 30 jours que de faibles différences numériques. Dans le sol d'Erechim, où la concentration en Al est de 185 mol/l, on n'a constaté dans l'extrait de sol à saturation qu'une diminution de la population d'un seul facteur logarithmique. Des souches deR. phaseoli ont été téstées pour leur aptitude à pousser en milieu liquide à pH 5,0 et en présence de concentrations allant jusqu'à 100 mol/l d'Al (16 souches) et 320 g/l de Mn (13 souches). Les souches différent en ce qui concerne leur résistance à la fois à Al et à Mn, certaines étant capables de se développer très bien aux concentrations en Al et Mn les plus élevées. A l'exception deR. phaseoli C-12, la tolérance aux fortes concentrations en Mn ne présente aucune corrélation avec la résistance à Al. En conclusion, les facteurs d'agression n'ont pas d'effet important sur la survie deR. phaseoli dans le sol, étant donné que le tolérance des souches à ces facteurs peut varier de façon suffisante.
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12.
The chemical composition of yeast and mycelial cells of three strains ofHistoplasma capsulatum was analyzed and is expressed as per cent dry weight. Cultures were grown in a liquid synthetic medium, mycelial cells at 25°C and yeast at 37°C on gyrotory shakers. After 7 days, deoxyribonucleic acid (DNA), ribonucleic acid (RNA), and protein were higher in the yeast cells while mycelial cells contained more lipid and carbohydrate. The components of one strain were also studied at different stages of growth. The DNA in both yeast and mycelial cells remained relatively constant, but other components varied with the age of culture. In yeast cells the RNA level was 6.8 % at 2 days and then declined sharply remaining constant around 3.5 %. A protein content of 29 % on day 2 decreased gradually to 19 % on day 14. An initial lipid content of 21 % rose to 33 % on day 5 and then decreased. Similarly, an initial carbohydrate level of 17 % rose to 25 % on day 7 and then declined. The mycelial cells contained 4 % RNA up to 10 days followed by a slight decline to 3 % on day 14. A protein content of 20 % on day 5 increased to 24 % on day 10 and then decreased to 15 % on day 28. The lipid content of 33 % on day 5 rose to 38 % on day 7 and then decreased gradually. The carbohydrate level of 20 % at 5 days increased to 38 % on day 10 and declined gradually to 27 % after 28 days.
Résumé La composition chimique des cellules levuriformes et mycéliennes de trois souches deHistoplasma capsulatum a été déterminée. Le champignon a été cultivé dans un milieu synthétique liquide secoué à 25° C pour la phase mycélienne et à 37° C pour la phase levuriforme. Après 7 jours d'incubation, les cellules levuriformes étaient plus riches en acides nucléiques et en protéines que les cellules mycéliennes qui étaient par contre plus riches en lipides et en hydrates de carbone. La composition d'une des souches fut étudiée à différentes étapes de la croissance. La teneur en ADN des deux phases resta relativement constante mais des variations furent observées dans le cas des autres constituants chimiques. Pour ce qui est des levures, l'ARN qui constituait 6,8 % du poids des cellules sèches à deux jours, tomba rapidement à 3,5 % et resta constant. Les proteines passèrent de 29 % au deuxième jour à 19 % au quatorzième jour. Au contraire, la teneur en lipides passa d'un valeur initiale de 21 % à 33 % au cinquième jour, pour diminuer de nouveau par la suite. De même, une teneur initiale en hydrates de carbone de 17 % passa à 25 % au septième jour puis diminua par la suite. Dans les cas des cellules mycéliennes contenaient 4 % de ARN jusqu'au dizième jours, puis cette valeur tomba légèrement jusqu'à 3 % au quatorzième jour. Les protéines qui représentaient 20 % au cinquième jour augmentèrent jusqu'à 24 % au dizième jour pour tomber à 15 % au vingthuitième jour. La teneur en lipides de 33 % au cinquième jour augmenta jusqu'à 38 % au septième jour pour diminuer graduellement. De même les taux en hydrates de carbones qui représentaient 20 % au cinquième jour augmentèrent jusqu'à 38 % au dixième jour et diminuèrent graduellement jusqu'à 27 % au vingt-huitième jour.
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13.
Résumé La tolérance au chlorure de sodium de trois souches deRhizobium meliloti dont deux isolées de nodules de luzernes poussant en sols salins a été étudiée. Pour deux souches, la croissance est ralentie par 600 mmol/l de NaCl et inhibée par 750 mmol/l mais les bactéries restent vivantes. Une des souches isolées de sol salin se développe encore en présence de 750 mmol/l de NaCl. Avec 900 mmol/l de NaCl la croissance est inhibée et la viabilité altérée. Le sodium et le potassium intra-cellulaires ont été dosés. Les trois souches accumulent du K en présence de NaCl. La souche la plus tolérante au NaCl contient plus de Na et accumule moins de K que les autres souches. La germination des graines de deux luzernes (européenne et marocaine) est inhibée à partir de 0.5% et totale à 1.4% de NaCl pour la première, et à partir de 0.9% et totale à 2% de NaCl pour la seconde. Les trois souches deR. meliloti infectent de jeunes plantes de luzerne en présence de 1.5% de NaCl et les nodules formés contiennent des bactéroïdes d'aspect normal. Cependant les nodules restent blancs à partir de 1% de NaCl et les plantes sont moins développées. L'activité nitrogénasique mesurée sur ces plantes nodulées en présence de NaCl est ralentie à partir de 0.4% de NaCl, très faible avec 1% et totalement inhibée avec 1.5%. La plante-hôte et par suite l'activité fixatrice symbiotique semblent ainsi plus sensibles au NaCl que la bactérie elle-même.
Effect of sodium chloride on in vitro growth, infectivity and effectiveness of Rhizobium meliloti
Summary The tolerance to sodium chloride shown by three strains ofRhizobium meliloti, two of them isolated from nodules of lucerne cultivated in a saline soil, was studied. The growth of two strains is slowed by NaCl at 600 mmol/l and inhibited at 750 mmol/l, but the bacteria remain visible. One of the strains isolated from saline soil grows in the presence of 750 mmol/l NaCl. With NaCl at 900 mmol/l the growth is inhibited and viability impaired. The intracellular concentrations of Na and K has been determined. All three strains accumulate K in the presence of NaCl. The most tolerant strain contains more Na and accumulates less K than the other two. The germination of seeds of two varieties of lucerne (European and Moroccan) is inhibited at 0.5% and suppressed completely at 1.5% NaCl for the first variety, and inhibited at 0.9% and suppressed at 2% NaCl for the second. In the presence of 1.5% NaCl the threeR. meliloti strains infect the young lucerne plants and the nodules formed certain morphologically normal bacteroids. With 1% NaCl, however, the nodules are colourless and the plants are less well developed. Nitrogenase activity measured on plants nodulated in the presence of NaCl is decreased at 0.4%, very weak at 1% and inhibited completely at 1.5% NaCl. Therefore, the host plant and the symbiotic nitrogen fixation process appear to be more sensitive to NaCl than are the bacteria themselves.

Efecyo del cloruro sodico en el crecimiento in vitro, la infectividady la eficacia de Rhizobium meliloti
Resumen Se ha estudiado la tolerancia al cloruro sódico de très cepas deRhizobium meliloti, dos de ellas aisladas de nodulos de alfalfa cultivada en suelos salinos. La presencia de NaCl a concentración de 600 mmol/l disminuye la velocidad de crecimiento de dos de las cepas, quedando este totalmente inhibido en 700 mmol/1. La bacteria, permanece, sin embargo, viable. Una de las cepas aisladas del suelo salino crece incluso en presencia de 750 mmol/1 de NaCl y su crecimiento no se inhibe hasta llegar a una concentración de 900 mmol/l quedando noobstante disminuida la viabilidad de la bacteria. Se han determinado las concentraciones intracelulares de Na y K observandose que las tres cepas acumulan K en presencia de NaCl. La cepa m tolerante a la salinidad contiene más Na y acumula menos K que las otras dos. Se ha estudiado la germinación de dos variedades de semillas de alfalfa: europea y marroquí. La germinación de la variedad europea es inhibida parcialmente a 0.5% NaCl y completamente a 1.5%. En la variedad marroquí la inhibición parcial occure a 0.9% y la supresión de la germinación a 2% de NaCl. En presencia de 1.5% de NaCl las tres cepas deR. meliloti infectan las plantulas de alfalfa formando nódulos que contienen bacteroides morfologicamente normales. A pesar de ello in 1% de Na Cl los nódulos son incoloros y las plantas no se desarrollan tan bien. En plantas que han nodulado en presencia de NaCl la actividad nitrogenasa disminuye a 0.4%, es muy debil a 1% y esta inhibida totalmente a 1.5% de NaCl. De todo ello podemos concluir que la planta húesped y el proceso de fijación simbiótico de nitrógeno parecen ser más sensibles al cloruro sódico de lo que lo son las bacterias por sí mismas.
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14.
Evidence is presented in support of the hypothesis that in Piezosternum calidum the mid-gut contents consist of symbiotic bacteria from the gastric caeca, and are not derived from the plant sap ingested. A similar process has been observed in other large sap-sucking Heteroptera, of which Mygdonia tuberculosa (Coreidae) has been studied as an example, the site of bacterial digestion is usually posterior to an interruption in the continuity of the mid-gut, but in P. calidum the gut is continuous and the contents fill it completely. It is suggested that the mid-gut contents of some other sap-sucking Heteroptera with continuous guts may also prove to be derived from their bacterial symbionts.
Résumé Les Hétéroptères suceurs de sève possèdent sur le mesenteron postérieur de nombreux coecums remplis de bactéries symbiotiques. Chez beaucoup d'espèces, par exemple Mygdonia tuberculosa (Coreidae) le mesenteron est interrompu dans sa région moyenne et la partie postérieure renferme un contenu digestif qui représente les bactéries coecales digérées. La partie antérieure contient peu de matière solide provenant de la sève de la plante-hôte. Chez Piezosternum calidum, suceur de sève sur des cucurbitacées; l'intestin moyen n'est pas interrompu et est complètement rempli par un matériel presque solide. Ce contenu digestif est uniforme d'aspect sur coupes histologiques et sa composition riche en acides aminés, le rapproche davantage des bactéries coecales que de la sève de la plante-hôte. Le mesenteron présente d'ailleurs une région très acide où les bactéries pourraient être digérées. Ces bactéries se cultivent sur un milieu à base d'acide urique, de nitrate ou d'ammoniaque, en ce qui concerne la source d'azote. L'utilisation massive des bactéries symbiotiques par l'insecte lui est peut-être nécessaire car la source d'azote dans la plante n'est pas directement assimilable. La continuité de la lumière intestinale est peut-être liée à l'absence dans la sève de la plante d'une substance qui serait nuisible aux bactéries.
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15.
Résumé Les auteurs ont réussi à isoler, des couches superficielles du sol, 4 nouvelles souches deTrichophyton mentagrophytes. L'une de ces souches a été isolée de la terre qui se trouvait sous un abri pour le bois, dans la cour d'une maison à Bucarest. Cette souche avait provoqué une mycose (herpès circiné) à une femme qui s'en était contaminée en venant en contact avec le bois qui se trouvait dans le sus-dit abri. La seconde souche a été isolée d'un échantillon de terre de jardin, prélevé de la cour de l'hôpital Colentina à Bucarest. Une troisième souche a été trouvée dans un échantillon de terre qui avait été prélevé du jardin public d'une station balnéo-climatique de moyenne altitude. Enfin, une 4-ème souche a été trouvée dans un échantillon de terre de jardin, près d'une maison habitée à Bucarest. Les deux premières souches ont été inoculées avec succès, tant à l'homme, qu'au cobaye. Vu les résultats de leurs recherches, ainsi que la riche morphologie duTrichophyton mentagrophytes, indice d'un caractère plutôt saprophytique, les auteurs pensent que ce champignon doit être assez largement répandu dans le sol. Si sa présence n'y a pas été plus fréquemment signalée, cela s'explique aussi par le fait que ce dermatophyte est moins facile à isoler du sol que leMicrosporon gypseum et leKeratinomyces ajelloi.
Summary The authors were able to isolate, from the superficial layers of the soil, 4 (new) strains ofTrichophyton mentagrophytes. One of them has been isolated from the soil of a woodshed, in Bucharest. This strain caused a ringworm in a woman who contaminated herself by handling wood in the woodshed. The second strain has been isolated from a sample of garden-soil, gathered in the yard of the Colentina Hospital, in Bucharest. A third one was found in a sample of soil, picked up from a publicgarden of a spaa, of middle-altitude. At last, a fourth strain has been isolated from a garden-soil in Bucharest. The first two strains have been successfully inoculated in man and guinea-pig. Considering the results of their researches on the presence ofTrichophyton mentagrophytes in the soil, as well as its rich morphology, which indicates its rather saprophytic nature, the authors conclude that this fungus might also live as saprophyte in the soil. If its presence, in the soil, has not been more often mentioned up to now, this may be also explained by the fact that it is more difficult to isolate it thanMicrosporon gypseum andKeratinomyces ajelloi.
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16.
The physico-chemical parameters of water samples collected from three points in the Lagos lagoon were studied for 12 months. Safinity varied seasonally but the temperature pH, dissolved O2, conductivity, NO3 and HPO4 2– concentrations were relatively constant. There was a direct proportionality between the population density of hydro-carbon-utilizing bacteria and the oil content of water samples. Twelve hydrocarbon-utilizing bacteria were isolated by selective enrichment and characterized as species ofPseudomonas, Alcaligenes, Acinetobacter andBacilius. The organisms grew mainly on long-chain aliphatic hydrocarbons. Laboratory and field biodegradation studies showed both quantitative and qualitative changes in the hydrocarbon content of crude oil due to microbial degradative activities and a faster rate of oil depletion from the Lagos lagoon during the rainy season. The results obtained could offer a predictive model for estimating the rate of disappearance of petroleum hydrocarbons from the tropical estuarine environment.
Résumé On a étudié les paramètres physicochimiques d'échantillons d'eau récoltés en trols endroits du lagon de Lagos pendant 12 mols. La salinite a varié avec les saisons mais tant la température que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et les teneurs en nitrales et en phosphates sont restés relativement constants. II y avait une proportionnalité directe entre la densité de population des bactéries utilisant les hydrocarbures et le contenu en pétrole des échantilions d'eau. Douze souches de bactéries utilisant les hydrocarbures ont été isolées par enrichissement sélectif et caractérisées au niveau de l'espèce comme desPseudomonas, Alcaligenes, Acinetobacter etBacillus. Ces organismes croissent principalement sur des hydrocarbures aliphatiques à longue chaîne. Des études de biodégradation au laboratoire et sur le terrain ont montré des changements tant quantitatifs que qualitatifs dans le contenu en hydrocarbures du pétroie brut, dus aux activités de dégradation microbienne ainsi qu'un appauvrissement plus rapide en pétrole du lagon de Lagos pendant la saison des pluies. Les résultats obtenus pourraient offrir un modèle prédictif pour l'estimation de la vitesse de disparition des hydrocarbures du pétrole dans l'environnement d'estuaires tropicaux.
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17.
In order to select a candidate strain of Trichogramma sp. for inundative releases against lepidopteran pests in cabbage field-crops in the Netherlands, the parasitization activity of a collection of 60 different Trichogramma spp. strains was studied during 2 h and 24 h exposures at 12°C. Activity and parasitism varied significantly among strains and the two characteristics were not correlated, suggesting the action of two differentially temperature-dependent mechanisms influencing both characteristics. Native strains were characterized by a low activity at 12°C, making their usefulness for inundative releases doubtful. In three strains tested at 12, 17, 20, 25 and 30°C, activity increased linearly with temperature, until nearly all females parasitized at 20 or 25°C. Parasitism increased with increasing temperature to a maximum at 20–25°C and declined at 30°C. Handling time decreased asymptotically with increasing temperature. The results of this study suggest that Trichogramma strains vary in adaptability to low temperature, making this characteristic a useful criterion for evaluation of candidate strains.
Résumé Afin de sélectionner une souche de Trichogramma sp. (Hymenoptera, Trichogrammatidae) candidate pour des lâchés inondatifs contre les Lépidoptères pestes de chou aux Pays-Bas, l'activité de parasitisation d'une collection de 60 souches différentes de Trichogramma spp. a été étudiée à 12°C pendant des durées d'exposition de 2 h et 24 h. L'activité proportionnelle et le degré de parasitisation des femelles varient significativement selon des souches et ne sont par corrélés. Ceci suggère l'action des deux mécanismes distincts, dépendant de la température et contrôlant independamment chacun de ces processus. Les souches indigènes sont caractérisées par une faible activité à 12°C, mettant en doute leur utilisation pour les lâchés inondatifs. Dans 3 souches testées à 12, 17, 20, 25 et 30°C, l'activité augmente linéairement avec la température, jusqu'a ce que quasi toutes les femelles parasitent les oeufs hôtes à 20°C et 25°C. Le taux de parasitisation augmente avec la température atteignant un maximum à 20–25°C puis diminue à 30°C. Le temps de manipulation d'un oeuf hôte diminue asymptotiquement lorsque la température croît. Les résultats de cette étude suggèrent que la capacité d'adaptation aux températures basses varie selon les souches de Trichogramma. Cette caractéristique constitue un critère utile pour l'évaluation de souches candidates potentielles.
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18.
The length of the time young gypsy moth, Lymantria dispar L. (Lepidoptera: Lymantriidae), larvae remain in litter after failing from trees would help in understanding the impact of predation by ants, as ants appear to be important predators of gypsy moths only in litter. To obtain information on caterpillar litter residence times, visual activity of larvae was investigated in the laboratory by presenting them with vertical dark silhouettes of various widths in a 1 m wide cylindrical arena. Their limit of angular resolution was about 1°. This value helped to determine distances to trees caterpillars could be expected to orient toward from randomly-located points in a forest. These data were used with results on litter crawling speed of instars 1, 2, and 3 in a simulation model that generated litter residence times averaging serveral hours. By combining results with a previously-developed model of ant predation in forest litter, it was estimated that about half of unfed first instars falling into the litter would survive, whereas only about 10% of 2nd and 3rd instars would. The implications these results have for control of the gypsy moth are discussed.
Résumé La prédation par les fourmis du genre Formica spp. a une influence importante sur les premiers stades de L. dispar (Lepido., Lymantriidae) en Amérique du Nord. La durée du temps passé dans la litière par les jeunes chenilles après être tombées des arbres doit permettre de comprendre l'impact de la prédation par les fourmis. Pour connaître le temps de séjour des chenilles dans la litière, l'acuité visuelle des chenilles a été examinée au laboratoire en leur présentant des silhouettes noires verticales de différentes largeurs dans une arène circulaire de 1 m de diamètre. La limite de leur angle de résolution était d'environ 1°. Cette valeur a été utilisée pour déterminer les distances (jusqu'à 5 m) quelles que soient les orientations dans la forêt, d'arbres supposés susceptibles d'orienter les chenilles. Les arbres aux silhouettes acceptables étaient distribués uniformément entre 1 et 5 m.Les vitesses de déplacement dans la litière des stades 1, 2, et 3 ont été mesurées par observation directe dans la forêt (elles variaient de 0.9 à 1,54 cm/min). La distance des arbres et la vitesse de déplacement on servi à construire un modèle de simulation qui a donné un temps moyen de séjour de plusieurs heures. En combinant ces résultats avec un modèle précédemment publié de la prédation par les fourmis dans la litière de la forêt, qui utilisait le temps de contact des chenilles avec les fourmis et les taux de captures victorieuses pour estimer la mortalité, nous avons déterminé que la moitié environ des chenilles non alimentées de premier stade tombées dans la litière pourraient survivre, tandis que la survie pour le second et le troisième stade ne serait que de 10%. La discussion porte sur l'importance de ces résultats dans la lutte contre L. dispar.
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19.
Summary Batch anaerobic digestion of water hyacinth (Eichhornia, crassipes) was carried out in the laboratory. Daily gas yields were 18.9, 20.8. and 27.0 l/kg total solids (TS)/day for feedstocks containing 50, 30 and 20 g TS/l, respectively. Percentage decomposition rates of organic solids were 70.1, 72.0 and 75.6 for the 50, 30 and 20 g TS/l slurries, respectively Differences in methane content of the biogas were negligible. The average biogas produced per kg TS was 631 l. Three types of inoculum were used to start digesters freshly charged with 50 g TS/l of water hyacinth slurry: digested domestic sewage sludge (DSS), sheep rumen liquor (RL) and sludge from an old digester working on water hyacinth (WHS). The digester seeded with WHS gave the highest yield of biogas per kg dry water hyacinth, viz. 552 litres. The unseeded control gave only 221 litres/kg. Decomposition of volatile solids was 71.9% for the WHS digester and only 35.0% for the unseeded digester. The DSS and RL digesters gave results between these extremes with respect to both gas yield and percentage utilization of volatile solids.
Resumen La digestión anaerobia semi-continua de jacintos acuáticos (Eichornia crassipes) se realizó a escala de laboratorio. Los rendimientos en gas fueron de 18.9, 20.8 y 27.0 l/kg de sólidos totales (TS)/día, y las velocidades de descomposición de sólidos, yolátiles, expresadas en porcentajes, fueron de 70.1, 72.0 y 75.6, ambos parámetros relativos a producto inician con un contenido en sólidos totales de 50, 30, y 20g TS/l respectivamente. La cantidad media de biogás generada por KG TS fue de 6311. Se utilization tres tipos de inóculo para iniciar la fermentación en digestores recién cargados con pasta líquida de jacinto acuático: fangos de depuradora doméstica (DSS), extracto de rumen ovino (RL) y residuos de pasta de jacinto ya fermentada (WHS). El digestor sembrado con WHS fue el que produjo mayor cantidad de biogás por kg de materia seca: 552 l; el digestor sin inocular produjo tan solo 221 l/kg. El porcentaje de sólidos volátiles fue de 71.9% para el digestor con WHS y de 35.0% para el control no inoculado. Los digestores con DSS y RL dieron resultados intermedios tanto para la produccción de gas como para la utilización de sólidos volátiles.

Résumé La biométhanisation de la jacinthe d'eau (Eichhornia crassipes) a été conduite en milieu non renouvelé (batch) et à l'échelle du laboratoire. On a obtenu des vitesses de production de 18.9, 20.8 et 27.0 litres de gaz par kg de solides totaux (TS) et par jour pour des liqueurs mixtes contenant initialement respetivement 50, 30 et 20 g de TS par litre. La conversion des solides volatils (matière organique) était respectivement de 70.1, 72.0 et 75.6% pour les liqueurs mixtes contenant initalement 50, 30 et 20 g de TS par litre. Les différences en contenu en méthane du biogaz étaient négligeables. La quantité moyenne de biogaz produite par kg de TS était de 6311. Trois types d'inoculum ont été utilisés pour démarrer les digesteurs qui venaient d'être chargés par un broyat de jacinthe d'eau à 50g de TS par litre: la boue digérée de station d'épuration d'eau résiduaire domestique (DSS), la liqueur mixte du rumen, de mouton (RL) et la boue d'un digesteur alimenté dequis longtemps par la jacinthe d'eau (WHS). Le digesteur ensemencé avec l'inoculum WHS a donné le meilleur rendement en biogaz par kg de jacinthe sèche: 5521. Le contrôle sans ensemencement n'a donné que 2211 par kg. La conversion en solides volatils était de 71.9% pour le digesteur ensemencé avec l'inoculum WHS, tandis qu'elle n'etait que de 35.0% pour le digesteur non ensemencé. Les digesteurs ensemencés soit avec l'inoculum DSS soit avec l'inoculum RL ont donné des résultats intermédiaires entre ces deux extrêmes tant pour le rendement en biogaz que pour la conversion des solides volatils.
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20.
A study of the local population of the variegated grasshopper, Z. variegatus on the Nsukka Plateau, Nigeria, has shown that there are two populations, the dry season and the wet season populations, whose life-histories overlap.The average span of life, from nymph to adult of the individuals of either population is 9–10 months, while development from nymph to reproductive maturity in either form is 4–5 months. For the dry season population, nymphs appear in October, young adults by March–April, and by August the last remnants of this population die out. The wet season individuals appear first as nymphs by about February, as young adults by June, and die out by about December. In general, egg pods remain in the soil for 5–6 months (April–October), and for 4–5 months (October–February) for the dry season and wet season individuals respectively, before hatching. The shorter period spent in the soil by the eggs of the wet season individuals appears to be due to the fact of delay of oviposition in the mature females by the extreme wetness of the soil when reproductive maturity is attained.In the laboratory, attempts to mate reproductively mature and copulating adults from either seasonal population with each other, were not successful.The phenology of the dry season population is the same, whether reared in the laboratory or in the field.The growth characteristics of these grasshoppers conform to Dyar's rule. However, while growth as indicated by increases in mean body length is linear, growth as indicated by weight measurements shows a two-phase relationship, the divergence appearing at the IV instar.
Résumé Une étude de la population locale de Z. variegatus sur le Plateau Nsukka au Nigeria, a montré qu'il y a en fait coexistence de deux populations distinctes, dont les cycles biologiques se chevauchent, l'une correspondant à la saison sèche et l'autre à la saison humide.La longévité moyenne des individus (vie larvaire + vie imaginale) dans l'une ou l'autre de ces populations est de 9 à 10 mois, le développement, depuis la larve jusqu'à la maturité sexuelle, étant de 4 à 5 mois. Pour la population de la saison sèche, les larves apparaissent en octobre, les jeunes adultes en mars–avril, et les derniers survivants s'observent jusqu'en août. Les larves des individus de la saison humide apparaissent courant février, leurs jeunes adultes en juin, et la population s'éteint en décembre.En général les coques ovigères n'éclosent qu'après un séjour dans le sol de 5 à 6 mois (avril à octobre) pour la population de la saison sèche, et de 4 à 5 mois (octobre à février) pour la population de la saison humide. Le fait que le temps d'incubations dans le sol soit plus court pour les ufs déposés par les individus de la saison humide serait dû à ce que, lorsque ces femelles auront atteint leur maturité, l'extrême humidité du sol ne permettra pas la ponte qui se trouvera ainsi retardée.Les tentatives faites en laboratoire, pour croiser entre eux des adultes génitalement mûrs provenant de chacune de ces 2 populations, ont échoué.La phénologie de la population de la saison sèche reste la même, que celle-ci soit élevée au laboratoire ou dans la nature.Les caractéristiques de la croissance de ces Orthoptères sont conformes à la règle de Dyar. Toutefois, tandis que cette croissance est linéaire quand on la mesure d'après la longueur du corps, on y relève deux phases si l'on se réfère au poids des individus, la divergence se manifestant à partir du 4 e stade larvaire.
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