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1.
The behavioural basis for the reduction in feeding caused by the formamidine pesticide chlordimeform was investigated in second-instar larvae of the large cabbage white butterfly, Pieris brassicae L. Normally, these caterpillars feed communally. On chlordimeform-dipped leaves (10-6 M–10-2 M) they rapidly became excited, locomotion increased and only unstable aggregations formed in which any feeding was usually transient. Over 24 h excitation declined, aggregations re-formed and feeding was resumed. However, between 24 and 30 h, on leaves treated with chlordimeform solutions of 10-4 M or greater, larvae dispersed again.By altering the density of larvae on control discs a direct link was revealed between clump size and larval growth rates.It is concluded that, in species which feed gregariously, interference with larval aggregation contributes significantly to chlordimeform's effects on feeding and its involvement in a sublethal control mechanism in the field is discussed.
Résumé Un des effets sublétaux du chlordiméforme, insecticide formamidine, est une réduction de la prise de nourriture, par suite de l'altération du comportement. Celle-ci implique une action stimulant l'activité locomotrice du quatrième stade de P. brassicae L., moins sensible aux effets sur l'alimentation. Le but de ce travail est d'examiner comment le chlordiméforme agit sur le comportement des chenilles du second stade. Des chenilles sur des feuilles trempées dans le chlordiméforme (10-6 à 10-2) sont vite excitées, leur déplacements s'accélèrent et les groupements formés sont tous instables, l'alimentation y étant généralement éphémère. L'excitation se réduit au bout de 24 heures, le groupements se reforment, et l'alimentation reprend, bien que pour les concentrations 10-4 M, les chenilles aient été encore dispersées entre 24 et 30 heures, au moment où elles commençaient à s'alimenter sur les résidus de chlordiméforme. La perturbation de la concentration des chenilles sur des disques témoins a montré une relation directe entre la taille du groupe et le taux de croissance larvaire.Nous en avons conclu que chez les espèces de lépidoptères qui consomment groupées, une interaction avec l'agrégation larvaire contribue significativement à l'effet du chlordiméforme sur l'alimentation. La discussion porte sur les conséquences pour la croissance et la survie larvaire, particulièrement en ce qui concerne l'installation des chenilles néonates.
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2.
The majority of the chemoreceptory cells, which are located in the sensilla styloconica on the maxillae, have been characterized in two oligophagous caterpillars. Besides the sugar and salt receptors M. sexta has a cell, which is stimulated by some alkaloids, a cell sensitive to some glycosides and two inositol sensitive cells. P. brassicae has, besides a sugar and a salt cell two cells sensitive to mustard oil glucosides (differing in their sensitivity patterns), one cell sensitive to amino acids and another one to anthocyanins. In M. sexta, the sensitivity of some cells to their specific stimuli can be reduced by adding these specific compounds to its food. Modifications of food selection behaviour can be correlated with such induced receptor changes. The consequences of these observations are discussed in relation with food conditioning phenomena.
Résumé La plupart des récepteurs gustatifs, localisés dans des sensilla styloconica sur les maxilles, ont été caractérisés dans deux espèces de chenilles oligophages. En dehors des récepteurs pour le sucre et les sels, Manduca sexta a une cellule, qui est stimulée par quelques alcaloides, une autre sensible à quelques glycosides et deux cellules qui sont sensibles à l'inositol. La chenille de Pieris brassicae possède, en dehors des récepteurs pour le sucre et les sels, deux cellules qui réagissent aux glucosides des sénévols, une cellule sensible aux acides aminés et une autre aux anthocyanines. Le type de réaction induit par la sève d'une plante n'est pas seulement compliqué par des interactions inhibitrices et synergistes entre les divers composants de la séve, mais aussi par le fait que la sensibilité de certains chimiorécepteurs dépend en quelque sorte de la composition de la nourriture. Les modifications de sensibilité des récepteurs sont accompagnées par des changements du comportement dans la sélection des plantes-hôtes.
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3.
Electrophysiological recording with salicin and caffein from mouthpart receptors (labrum, maxillae, labial palpi) of sixth instar Spodoptera exempta (Wlk.) (Noctuidae) indicate the presence of receptors to these compounds in the maxillary sensilla styloconica. Feeding tests have confirmed that inhibition of feeding is produced by these two compounds, and ablation experiments suggest the presence of other, still unlocated, sucrose, salicin and caffein receptors.
Résumé L'enregistrement électrophysiologique des récepteurs des pièces buccales (labre, maxilles, palpes labiaux) des larves du sixième stade de Spodoptera exempta en présence de salicine et de caffeine, révèle l'existence de récepteurs à ces composés sur les sensilles styloconiques maxillaires.Des tests de prise de nourriture ont confirmé que l'inhibition de l'alimentation est provoquée par ces deux composés, et des expériences d'ablation suggèrent la présence d'autres récepteurs, non encore localisés, au sucrose, à la salicine et à la caféine.
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4.
Powdered dried ginkgo tree leaves were subjected to various chemical extractions and successive extracts were monitored for antifeedant activity against larvae of Pieris brassicae. Many fractions moderately inhibited food intake, and some were deterrent at levels as low as 25–50 ppm. Some behaviourally highly active fractions were tested electrophysiologically for neural responses in the maxillary taste sensilla. These extracts appeared to stimulate deterrent receptors. There were distinct differences in responses between Pieris brassicae and P. rapae. Ginkgolide A, B, and C each strongly stimulated deterrent receptors in P. rapae, which corresponds with the observation (Matsumoto & Sei, 1987) that these compounds are effective antifeedants for this species. No toxic effects were observed in insects after feeding for 24 h on diets containing ginkgo extracts.
Résumé Des feuilles de Gingko séchées et broyées ont été soumises à différentes extractions. On a testé l'activité déterrante (antiapprétant) des extraits successifs sur les larves de Pieris brassicae. Un grand nombre de fractions inhibent modérément la consommation, et certaines sont déterrantes à des concentrations aussi faibles que 25–50 ppm. Par électrophysiologie, on a testé la réponse nerveuse des sensilles gustatives maxillaires à certaines fractions qui montraient une forte action sur le comportement. Il s'avère que ces extraits stimulent les récepteurs déterrants. Les réponses diffèrent pour P. brassicae et P. rapae. Les gingkolides A, B et C stimulent chacun fortement les récepteurs déterrants chez P. rapae, ce qui correspond aux observations (Matsumoto & Sei, 1987) selon lesquelles ces composés sont des antiappétants efficaces pour cette espèce. On n'a pas observé d'effet toxique sur les insectes nourris durant 24 heures par des diètes contenant des extraits de Gingko.
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5.
With the advent of suitable techniques for rearing plant-sucking insects, especially aphids, on chemically defined diets, knowledge of their nutrition has evolved considerably over the past 7 years. Thus, contrary to some earlier beliefs, the nutritional requirements of plantsucking insects have been found to be, with minor exceptions, generally similar to those of other insects, and it is now possible to sustain aphid colonies on artificial diets for two or more generations, and in some cases, for an almost indefinite period of time.A discussion is presented on the comparative requirements of aphids and other Hemiptera for the main classes of nutrients and for individual compounds, both on a qualitative and quantitative basis, and on the relative importance of symbiotes in the nutrition and metabolism of these insects. Some nutritional and related factors that may influence feeding behaviour will be examined, such as the influence of the pH of the medium, the light, the quality of the diet and the concentration of certain nutrients on feeding preferences by aphids. Correlations will be attempted on the significance of these findings in relation to parasite-hostplant relationships.The main subject of the entire paper will be centered on the nutrition of about half a dozen species of aphids, but some examples will be given using other plant-sucking insects.
Résumé Les besoins nutritifs des insectes suceurs de sève, et tout particulièrement des aphides, ont été étudiés à l'aide de régimes de composition chimique connue. Ces besoins se sont avérés comparables à ceux des insectes en général, et on a pu jusqu'à présent maintenir indéfiniment des cultures d'au moins deux espèces d'aphides sur de tels régimes. II semble que ces insectes soient parmi les premiers Métazoaires à être gardés vivants indéfiniment sur des régimes chimiques définis. Les composés nutritifs essentiels aux aphides comprennent des acides aminés, des vitamines hydrosolubles, dont l'acide ascorbique, des sels minéraux, et du sucrose. Dans certains cas, les microorganismes symbiotiques procurent à leurs hôtes aphidiens quelques substances nutritives, dont des acides aminés, des vitamines et du stérol. De plus, les propriétés phagostimulantes du sucrose et de certains composés aminés ont été démontrées expérimentalement, de même que l'influence du pH et de la qualité de la lumière sur la prise de nourriture. Les résultats des tests de choix multiples, dans lesquels différents régimes nutritifs étaient accessibles aux aphidiens, ont démontré clairement que ces insectes peuvent choisir entre les régimes et préférer ceux qui sont de valeur nutritive supérieure, c'est-à-dire ceux sur lesquels leur croissance, leur reproduction et leur survivance sont maxi-males. Ces résultats confirment l'hypothèse par laquelle, chez les insectes, le choix d'un aliment peut être influencé considérablement par sa valeur nutritive. II apparaît évident que dans les conditions naturelles, le choix de la plante-hôte, et, plus particulièrement, le choix de l'endroit précis de la plante pour la prise de nourriture, et éventuellement, la pullulation de l'insecte, seront influencés, entre autres, par le métabolisme et les qualités nutritives de l'hôte. Finalement, il semble que des différences qualitatives et quantitatives observées entre les besoins nutritifs des différents insectes suceurs de sève se révèleront être en relation de plus en plus étroite avec leurs habitudes oligophages ou polyphages, et avec le pouvoir de synthèse de leurs symbiotes.
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6.
Feeding responses of the oligophagous tobacco hornworm to allelochemicals prevalent in their host plants were determined in food choice-tests using filter paper discs laced with a test solution or water (control). Six solanaceous alkaloids, tomatine, tomatidine, solanine, solanocapsine, atropine and nicotine, were tested and only tomatine and solanocapsine were found to influence preference behavior. Solanocapsine (5 mM) deters feeding whereas tomatine (1 mM) stimulates feeding slightly. No synergistic effect of either tomatine or tomatidine with sucrose was found.The responses to tomatine are affected by previous feeding experience. Tomatine slightly stimulates feeding in larvae reared on tomato (Lycopersicon esculentum), but slightly deters feeding in larvae reared on Jerusalem cherry (Solanum pseudocapsicum). Such induced preference is absent for the other alkaloids tested, which indicates that these alkaloids do not by themselves induce preferences for the plants containing them.The non-alkaloid allelochemicals, chlorogenic acid, rutin, and 2-tridecanone also influenced food choice behavior. Chlorogenic acid is slightly stimulatory at its natural concentration (1mM), but strongly deterrent at higher concentrations. Rutin stimulates feeding in a concentration-dependent manner. Its activity must be due to the glycosylated structure, because both the aglycone (quercetin) and the sugar moiety (rutinose) are neutral. Removal of the glucose part of rutin, as in quercitrin, results in feeding deterrent activity. 2-Tridecanone is neutral at its concentration in cultivated tomato (1 mM), but strongly deterrent and toxic at higher concentrations. Preference behavior is not affected by solanesol, GABA, and a mixture of host plant compounds stimulatory for anothe solanaceous-specific feeder, the Colorado potato beetle (Leptinotarsa decemlineata).We conclude that the prevalent solanaceous alkaloids and other allelochemicals tested do not play important roles in food selection of the tobacco hornworm, although some may make small contributions.
Résumé Des experiences de choix de chenilles oligophages de M. sexta ont été réalisees avec des disques de papier filtre imbiles d'eau ou de solutions des substances allélochimiques dominantes dans les plantes consommées. Sur les six alcaloïdes de solanées examinés: tomatine, tomatidine, solanine, solanocapsine, atropine et nicotine, seuls la tomatine et la solanocapsine ont influé sur le choix; la solanocapsine (5 mM) empêche la prise de nourriture, tandis que la tomatine (1 mM) la stimule légèrement. Aucun effet synergique de la tomatine ou de la tomatidine n'a été observé en présence de sucrose.La réponse à la tomatine est modifiée par la prise de nourriture antérieure. Elle stimule légèrement l'alimentation de chenilles élevées sur tomates (Lycopersicon esculentum), mais dissuade légèrement les chenilles élevées sur Solanum pseudocapsicum. II n'y a pas d'action induite semblable avec les autres alcalïdes examinés, ce qui indique que ces alcaloïdes ne peuvent pas induire par eux-mêmes de préférences pour les plantes qui les contiennent.Des substances allélochimiques non-alcaloïdes: acide chlorogénique, rutine, et 2-tridécanone, influent aussi sur le comportement de choix alimentaire. L'acide chlorogénique est légèrement stimulant à sa concentration naturelle (1 mM), mais fortement dissuasif aux concentrations supérieures. La rutine stimule la prise de nourriture en fonction de sa concentration. Son activité doit être due à sa structure glucosylate, puisqu'aussi bien l'aglycone (quercitine) que la moiteé sucrée (rutinose) sont neutres. La suppression de la partie glucose de la rutine, comme dans le cas de la quercitine, a un effet dissuasif. A sa concentration dans la tomate cultivée (1 mM), le 2-tridécanone est neutre, mais il est fortement dissuasif et toxique à des concentrations supérieures.Le comportement de choix n'est pas modifié par le solanésol, le GABA, et par un mélange de composés végétaux stimulant un consommateur spécifique de solanées, comme le doryphore (Leptinotarsa decemlineata).Nous pouvons conclure que les principaux alcaloïdes et autres substances allélochimiques des solanées que nous avons examinés n'interviennent pas d'une façon importante, mais peuvent avoir une influence secondaire, dans les choix alimentaires de Manduca sexta.
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7.
The feeding behaviour of the planthopper Peregrinus maidis was looked at in relation to the cyanide and phenolic compounds found in sorghum. Tests were carried out using both plant material and artificial media. HCN was found to be deterrent in long-term feeding tests with artificial media but it is unlikely to affect feeding when present in the plant. Mixtures of phenolic acids and their esters reduced feeding on artificial media when presented to the insects at concentrations similar to those occurring in young plants. Phenolic acid concentration was correlated with enhanced production of salivary sheath material in both plants and artificial media. In plants high concentrations of phenolic acids were correlated with a reduction in the ability of P. maidis to locate the phloem tissues.
Résumé Les effets de l'HCN, des acides phénoliques et des composés voisins du Sorgho sur le comportement alimentaire de Peregrinus maidis, ont étré examinés en utilisant la plante ou un régime artificiel. HCN testé dans un régime artificiel est répulsif à des concentrations voisines de celles trouvées dans des plantes de 10 cm de haut. Des tests ultérieurs sur les effects de HCN sur le comportement de pigûre, montrent qu'il est plus toxique que répulsif. Les acides phénoliques et les esters èlevent l'activité perforatrice mais diminuent la prise de nourriture sur régime artificiel. De fortes teneurs en acides phénoliques dans les tissus de la plante sont aussi associées à des piqûres plus longues, à une plus grande ramification des piqûres et à une diminution correspondante de l'aptitude de P. maidis à découvrir le phloeme.
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8.
A number of essential processes in the development of Myzus persicae are initiated in early larval life. During this period the food quality often affects further development. This paper deals with the question whether amino acids, known to be necessary for developmental processes, play a specific rôle in diet acceptance. The amino acid methionine appeared to stimulate food uptake to a great extent. Experiments with diets containing 32P showed that food uptake within 1 hr by first-instar larvae on diets of unequal nutritive value was markedly different.
Résumé La qualité de la nourriture que reçoit Myzus persicae pendant le début de sa vie larvaire détermine souvent les modalités de son développement ultérieur (production de formes aptères où ailées par exemple). On a charché à déterminer si les acides aminés, reconnus comme étant nécessaires au développement, jouent seulement un rôle spécifique dans le métabolisme des Aphides ou si ils interviennent comme facteurs stimulant la prise de nourriture. La méthionine en particulier se révèle avoir un rôle important comme phago-stimulant; en l'absence de méthionine la quantité de nourriture absorbée est diminuée. Par contre sur des aliments dépourvus d'histidine et d'isoleucine, le taux de nourriture absorbée ne change pas.Des expériences de choix alimentaire, entre deux substrats placés côte à côte, ou disposés en couches superposées, montrent que dans le ler cas les Aphides peuvent se localiser sur le milieu le mieux équilibré en ces acides aminés, et dans le second cas peuvent enfoncer leurs stylets jusqu'au milieu le plus favorable. L'adjonction de 32P à l'un des milieux permet d'apprécier la quantité de nourriture prélevée.
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9.
The behavioural responses of Delia brassicae to host plant odour were observed in a large wind tunnel (6×2.3×1.8 m). Only mated, gravid females showed oriented upwind responses to host plant odour; visual stimuli had no effect. There was a marked optimum in the odour concentration for upwind flight but higher concentration stimulated flight activity in both sexes. The response levels were higher and the degree of positive phototaxis lower in females released in the tunnel 1 hr before test, than in those tested without this preconditioning. The effects of handling on response level were complex; physical disturbance inhibited responses at intermediate intensities but increased it at high levels.
Résumé Les réactions comportementales de Delia brassicae à l'odeur de la plante-hôte ont été étudiées dans un grand tunnel parcouru par un courant d'air (6×2,3×1,8 m). Les femelles fécondées et gravides ont, seules présenté une réaction orientée contre le vent à l'odeur de la plante-hôte; les stimulations visuelles ont été sans effet. La concentration en odeur a présenté un optimum marqué pour le vol contre le vent, mais une concentration plus élevée a stimulé le vol des deux sexes. Les niveaux de réaction étaient plus élevés et le degré de phototaxie plus bas chez les femelles libérées dans le tunnel une heure avant les expériences, que chez celles étudiées sans ce préconditionnement. Les effets des manipulations sur le niveau de réaction étaient complexes; les perturbations physiques ont inhibé les réactions aux intensités intermédiaires mais les ont augmentées aux intensités élevées.Bien que le comportement des femelles aurait pu être envisagé comme étant sous l'influence de deux systèmes de motivation contrôlant la ponte et la fuite, une étroite liaison entre les deux a paru exister, une perturbation physique stimulant simultanément les comportements de fuite et de ponte.
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10.
In response to residue of a sublethal dose of the synthetic pyrethroid fenvalerate, twospotted spider mites, Tetranychus urticae Koch, exhibited an aerial dispersal behavior in addition to a previously documented walk-off response. The magnitudes of the two responses were positively correlated, although the peak incidence of aerial dispersal behavior occurred 1.3 h after the peak of walk-off. Mite response was the same on treated and untreated non-feeding surfaces (31.2 and 36.2% walk-off, 58.4 and 55.6% aerial, respectively), suggesting that fenvalerate did not induce dispersal by direct irritancy. Response on treated leaf disks (40.6% walk-off, 41.6% aerial) was similar to that on the non-feeding surfaces, but few mites exhibited dispersal behaviors on untreated leaf disks (7% walk-off, 0% aerial). The difference between mite dispersal from treated and untreated leaf disks was attributed to a direct antifeedant effect of fenvalerate, which was thought to hasten desiccation by preventing imbibition. This hypothesis was supported by experiments in which mites on non-feeding surfaces responded more rapidly and in greater numbers when held at 10% relative humidity than at 95% r.h. regardless of fenvalerate residues on the substrate. The relationship among the different types of fenvalerate-induced mite dispersal behavior is discussed.
Résumé T. urticae réagit, après une réaction de fuite, par un comportement de dispersion aérienne, à la présence de résidus sur disques de feuilles d'une dose subléthale (25 ppm=0,025 g AI/L) du fenvalerate pyréthroïde de synthèse: Pydrin 2.4 EC. Ces résponses ont été aussi observées chez des acariens enfermés avec des surfaces inertes. La corrélation entre les deux formes de réponses de dispersion était positive, bien que le pic des dispersions aériennes ait eu lieu 1,3 h après le pic des fuites. La dispersion était la même avec des surfaces non-allimentaires traitées ou non (respectivement départs: 31,2 et 36,2%, et dispersions aériennes: 58,4 et 55,6%), tandis que le comportement de dispersion était rare sur feuilles non traitées (départ 7%, dispersion aérienne 0). Les réactions des acariens aux surfaces inertes traitées ou non au fenvalerate laissent penser que ce produit p'induit pas une réaction par irritation directe, sinon la réaction des acariens aurait dû être plus importante sur surfaces inertes traitées. Ainsi, la différence entre les dispersions à partier de disques de feuilles traitées ou non a été attribuée à une phagodissuasion directe.Comme l'alimentation fournit nourriture et eau aux acariens, la dispersion par le fenvalerate peut répondre, soit à la privation de nourriture, soit à celle d'eau, soit enfin aux deux. La dessication, supposée résulter de la carence en eau, peut aussi être favorisée par l'induction de pertes d'eau. Pour séparer effets de privation et de dessication, les acariens ont été maintenus sur des surfaces inertes à 10% et à <95% H.R.; à 10%, ils ont réagi en plus grand nombre et plus tôt qu'à <95%, montrant que la dessication a été, plus que le jeûne, le stimulus primaire de la dispersion, bien que l'on ne doive négliger l'importance du jeûne, surtout quand il se prolonge plusieurs heures.Selon nos résultats, fuite et comportement de dispersion aérienne induits par le fenvalerate, proviennent de son action phagodissuadante, et peuvent être des manifestations différentes d'une réaction générale de dispersion. Nous suggérons que les acariens répondent par ces comportements à une perte d'eau en-dessous d'une seuil qui aurait permis l'adaptation à la détérioration de la plante hôte. Les relations entre dispersion induite par le fenvalerate (par comparaison avec les autres modes de dispersion) et mortalité dans la nature restent à éclaircir.
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11.
Temperature has no significant effect in inducing diapause in B. fusca larvae. Lower temperature than the optimum, however, delayed larval growth but induced no diapause.Diapause in B. fusca was induced largely by the state of maturity and composition of food taken by the larvae. The incidence of diapausing larvae increased with the maturity of the food plants in which larvae were feeding. The carbohydrate, protein and water content of the type of food plants were probably the critical elements associated with the induction of diapause.
Résumé Deux facteurs, la température et la nourriture, ont été étudiés expérimentalement en laboratoire, quant à leur rôle dans le déclenchement de la diapause larvaire de B. fusca.Les résultats montrent, bien que la température de 23°C n'induit pas la diapause, que le développement est cependant retardé. A 28° et 30° la croissance est plus rapide et les larves se nymphosent après 5 à 6 mues.La diapause est largement induite par l'état de maturité et la composition de la nourriture prise par les larves. Le plus faible pourcentage de diapause (24%) s'observe chez des larves nourries avec du maïs âgé de 6 à 9 semaines, tandis que ce pourcentage atteint 76%, 88% et 91% chez des larves nourries respectivement avec des plants de maïs âgés de 8–11, 10–13 et 12–15 semaines.On a aussi établi que les teneurs en hydrates de carbon, en protéïne et en eau, du type de plantes utilisées, étaient probablement les facteurs critiques intervenant dans le délenchement de la diapause.
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12.
Malathion resistance in the German cockroach has been examined with respect to its inheritance pattern and linkage relationship. A resistant strain was crossed reciprocally with an unmarked and two marked susceptible strains. The progeny from F1, F2 and backcrosses were tested for resistance to malathion by exposure to toxicant-impregnated filter paper, and were classified according to marker traits where appropriate. Malathion resistance (R-Mal) is inherited as a simple autosomal dominant trait. Linkage studies showed R-Mal to be independent of or in group IV, pld in group VI, and T(9, 10) Pw marking both groups III and VIII. A possible malathion-resistance mechanism for this insect is discussed.
Résumé La résistance de la Blatte germanique au malathion est réputée se manifester à la fois dans les conditions naturelles et dans les lignées élevées en laboratoire. Dans le présent travail cette résistance est étudiée en vue de déterminer le mécanisme de sa transmission héréditaire et de commencer à établir la carte chromosomique de ce caractère. Une lignée présentant un haut niveau de résistance au malathion est croisée avec une lignée sensible non marquée et avec deux autres lignées sensibles possédant un gêne marqueur. Les descendants de F1, de F2 et des croisements de retour sont testés pour leur résístance au malathion en soumettant les larves à un contact avec du papier filtre imprégné de malathion; ils sont classés en se rapportant aux caractères marqueurs. Les gênes marqueurs utilisés sont or sur le groupe IV, pld sur le groupe VI, et T(9, 10) Pw, marquant à la fois les groupes III et VIII. Les résultats montrent que les descendants F1 provenant de croisements réciproques sont identiques et ressemblent au parent résistant. Cette donnée ajoutée aux résultats concernant F2 et les croisements de retour avec les parents R et S, indique que la résistance au malathion est transmise comme un caractère dominant, monofactoriel et porté sur un autosome, caractère désigné R-Mal. Les études relatives au linkage du caractère R-Mal aves les gênes marqueurs, ont montré l'indépendance de R-Mal. II est suggéré que le mécanisme le plus probable de la résistance au malathion résulte d'une activité accrue de la carboxyesterase.
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13.
The feeding responses of newly hatched larvae of Papilio demoleus on the diet with preservatives were as high as on the diet without preservatives though less than those on the host lime leaves. However, when the larvae were reared upto the 5th instar on the host lime leaves or the diet with or without preservatives, their feeding responses towards host lime leaves and the diet without preservatives were equally high. The diet with preservatives reared larvae showed 100% response when tested on the same diet. But their response towards diet with preservatives declined to 80% when the larvae were reared on the diet without preservatives and to 10% when they were reared on the host lime leaves. The larvae seem to have an aversion against the preservatives if reared in their absence which was enhanced by their experience of feeding on the host leaves during their ontogeny.
Influence des agents de conservation sur la prise de nourriture par les chenilles de Papilio demoleus
Résumé La prise de nourriture par des chenilles néonates de P. demoleus est aussi élevée sur régime avec agents de conservation qu'en leur absence, bien qu'elle soit inférieure à celle qui est observée sur les feuilles de son hôte Citrus limettioides. Cependant, quand les chenilles ont été élevées jusqu'au 5ème stade sur des feuilles de C. limettioides, ou sur des régimes avec ou sans conservateurs, leur prise de nourriture sur feuilles de C. limettioides, et régime sans conservateur est aussi importante. Toutes les chenilles élevées sur régime avec conservateur ont consommé lorsqu'elles avaient été maintenues sur le même régime. Par contre, leurs réactions face à un régime contenant des conservateurs a entraîné une diminution de près de 20% après élevage sur un régime sans conservateur, et de près de 90% après élevage sur feuilles de C. limettioides. Les chenilles semblent manifester de l'aversion envers les conservteurs si elles ont été élevées en leur absence, aversion renforcée lorsqu'il y avait eu préalablement alimentation sur feuilles de C. limettioides.
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14.
The phagostimulant effectiveness of substances used in artificial diets for Schistocerca was assessed by comparing the amounts of faecal material produced by hungry hoppers allowed to feed on filter paper soaked in solutions of the substances with the amounts produced when water alone was used on the paper. Sucrose, glucose and wheatgerm oil caused markedly greater faecal production than distilled water alone. Chlorophyll, carotene, casein, peptone, olive oil, a nutritional salt mixture, a mixture of B vitamins, choline chloride and ascorbic acid were no more effective than water. Aqueous extracts of yeast were generally as effective as sugar but sometimes seemed inhibitory at high concentrations. As growth could occur on diets lacking yeast, sugar and wheatgerm oil, the only dietary components found to have pronounced phagostimulatory properties, it appears that special gustatory stimuli are unnecessary for initiating feeding activity in hungry hoppers. This view was later borne out in experiments in which the amounts of various complete diets eaten and the faeces produced from them were compared. No major differences in feeding attributable to palatability were apparent, but the amounts of food taken were found to be related to differences in utilisability. With both Schistocerca and Locusta, the lower the utilisability of the food the greater the amount eaten and for a range of diets of various utilisabilities, including fresh grass, the values obtained by multiplying the amount eaten (dry weight) by the coefficient of utilisation were similar for each species. It is suggested that in locust hoppers special gustatory stimuli are unnecessary for the initiation of feeding and of minor importance in sustaining it. The amount of food taken appears to be largely regulated by its overall utilisability where food of more or less adequate nutritional composition is concerned, a situation not wholly unexpected in insects able to thrive on diverse food plants.
Resume L'effet phagostimulant des substances employées dans les régimes artificiels pour Schistocerca a éte évalué en comparant les quatités de matière fécale produites par des nymphes affamées auxquelles étaient offertes du papier filtre trempé dans de l'eau ou dans des solutions des substances à expérimenter. Le sucrose, le glucose, l'huile de germe de blé et un extrait éthéré de son ont occasioné une excrétion nettement plus grande que celle produite par l'eau distillée seule. La chlorophylle, le carotène, la caséine, la peptone, l'huile d'olive, un mélange salin, un mélange de vitamines du complexe B, le chlorure de choline et l'acide ascorbique n'étaient pas plus efficaces que l'eau. Des extraits aquex de levure étaient en général aussi efficaces que le sucre, mais quelquefois semblaient inhibiteurs à des concentrations fortes. Le Cerophyll, une spécialité de jus d'herbe qui a amélioré la croissance quand on l'a ajouté à certains régimes artificiels, semblait répulsif à des concentrations fortes et moins efficace que le sucre une fois dilué. Comme les régimes qui manquaient de sucre, de levure ou d'huile de germe de blé, les seules parties constituantes des régimes synthétiques à manifester des effets nettement phagostimulants, étaient au début capables d'entretenir une bonne croissance, il paraît probable que la faim est plus importante que la présence de stimuli gustatifs spéciaux pour déclencher l'activité alimentaire. On a comparé les quantités de nourriture mangée et les faeces produits par des nymphes du 5ème stade de Schistocerca auquelles étaient offertes des régimes artificiels divers ou de l'herbe fraîche. La première intention était de déterminer si un régime synthétique contenant de la protéine non raffinée d'herbe, qu'on avait trouvée supérieure dans des expériences de croissance à un régime analogue qui manquait de la protéine d'herbe, devait sa supériorité à un goût amélioré. On n'a pas découvert de différences importantes au point de vue de l'alimentation dues à des différences de goût, mais on a trouvé que les quantités de nourriture prises étaient liées à des différences considérables d'utilisation digestive. En ce qui concerne le poids sec, l'herbe n'a été utilisée qu'à moitié aussi bien que le régime synthétique tandis que le régime herbe protéine était intermédiaire à cet égard. Ceci a suggéré que la meilleure croissance effectuée en incorporant l'herbe protéine, pouvait se relier avec la diminution d'utilisation. En reformulant un régime synthétique contenant davantage de cellulose pour donner une utilisation digestive de l'ordre trouvé pour l'herbe, on a obtenu une croissance aussi bonne que celle du régime herbe-protéine. Le travail subséquent avec Schistocerca et Locusta a montré que l'utilisation digestive était un élément important qui réglait la quantité de nourriture prise. En général, plus l'utilisation était basse, plus la quantité mangée augmentait, et pour des variétés de régimes de digestibilité différente, y compris l'herbe, les valeurs obtenues en multipliant la quantité mangée (poids sec) par le coefficient d'utilisation étaient semblables pour chaque espèce. Afin d'expliquer ces résultats, il est proposé que des stimuli spéciaux gustatifs ne sont pas nécessaires au déclenchement de l'activité alimentaire chez les nymphes des criquets pélerins et qu'ils sont d'une petite importance dans la sustentation de l'alimentation. Il paraît que la quantité de nourriture prise est en grande partie réglée par son utilisation digestive en ce qui concerne une nourriture d'une composition plus ou moins suffisante, situation qui n'est pas étonnante chez des insectes qui sont capables de se développer sur des plantes diverses.
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15.
Newly hatched larvae of the tobacco hornworm do not show in a choice situation an orientational preference for an artificial diet, which either or not contains citral, and start feeding on both diets. Last-instar larvae, however, exhibit clear orientational responses and feeding preferences to the type of diet (i.e., with or without citral) on which they have been cultured. These results show that a single odorous compound may be involved in the induction of preferences for certain foods.
Résumé Dans une situation où elles peuvent choisir, des larves de Manduca sexta qui viennent d'éclore n'ont pas de préférence dans l'orientation pour un milieu artificiel qui contient ou non du citral et elles commencent leur prise de nourriture sur les deux substrats. Par contre, pendant leur dernière phase larvaire, les chenilles ont une réaction manifeste d'orientation et une préférence nutritive pour le genre de diète (à savoir: avec ou sans citral) qu'elles ont eue dans la période de leur développement. Ces résultats démontrent qu'un aromate simple peut avoir une certaine importance dans l'induction de préférences pour certains genres de nourriture.
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16.
Perception of the oviposition deterring pheromone by contact chemoreceptors in female Pieris brassicae was studied employing a tip recording technique. Electrophysiological responses of tarsal taste hairs to eggwash solutions show a marked increase in frequency of spikes originating from only one sensory cell. This suggests that in foretarsal taste hairs females, apart from the glucosinolate cells also possess sense cells specifically sensitive to the oviposition deterring pheromone.Morphological studies by means of the scanning electron microscope revealed that the ovipositor of P. brassicae is provided with two groups of contact chemoreceptors. Electrophysiological recordings from these sensilla indicate the presence of at least three sensory cells, one of them being a mechanoreceptor. Stimulation with eggwash evokes a slight increase in spike frequency which cannot be ascribed to one particular sense cell. This indicates that abdominal taste hairs in some way may participate in the perception of the oviposition deterring pheromone. Responses to glucosinolates do not differ significantly from control stimulations.
Résumé Une technique d'enregistrement apical a été utilisée pour examiner la perception d'une phéromone dissuadant la ponte par les poils récepteurs chimiques de contact des femelles de Pieris brassicae. Les réponses électrophysiologiques des poils gustatifs des tarses en présence de solutions de rinçage d'oeufs présentent une fréquence marquée des potentiels d'action provenant principalement d'une cellule sensorielle. Ceci suggère que les poils gustatifs des tarses des pattes antérieures des femelles possèdent, en plus de cellules répondant aux glucosinolates, des cellules sensorielles sensibles spécialement à la phéromone dissuadant la ponte.Des études morphologiques au microscope à balayage révèlent que l'oviposition de P. brassicae est pourvu de deux groupes de chimiorécepteurs de contact. Des enregistrements électrophysiologiques de ces sensilles révèlent la présence d'au moins trois cellules sensorielles, l'une d'entre elles étant un mécanorécepteur. La stimulation avec la solution de rinçage des oeufs évoque un léger accroissement de la fréquence des potentiels d'action qui ne peut être attribué à une cellule sensorielle particulière. Ceci indique que les poils gustatifs abdominaux peuvent participer d'une certaine façon à la perception de la phéromone dissuadant la ponte. Les réponses aux glucosinolates ne diffèrent pas significativement des stimulations témoin.
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17.
The feeding behaviour of Nilaparavata lugens was monitored on three rice varieties showing different levels of resistance in the Philippines, using a video-assisted observation method. N. lugens made more frequent, shorter probes on the moderately resistant IR46 and resistant IR62 rice varieties than on the susceptible IR22. Honeydew production was significantly lower on the resistant varieties though insect weight gains in 24 h were similar on IR46 and IR22, both being significantly greater than on the highly resistant variety.Population development, growth index and damage ratings were low on IR62 indicating antibiosis and/or non preference. When IR46 plants were infested as seedlings population increase, growth index and damage ratings were similar to those on the susceptible IR22. When infested at a later stage of plant growth the damage rating showed a moderate level of resistance though some population development was maintained, indicating antibiosis and tolerance. N. lugens started probing less frequently after surface exploration on both resistant varieties than on IR22 suggesting the presence of a resistance factor associated with the surface waxes of these varieties.
Résumé Le comportement alimentaire de Nilaparvata lugens sur variétés de riz, sensible (IR22), partiellement résistante (IR46) et fortement résistante (IR62), a été contrôlé avec une méthode associant la vidéo à l'observation. N. lugens faisait des piqûres plus fréquentes et plus brèves sur IR46 et IR62, que sur la variété sensible. La production de miellat était significativement plus faible sur les variétés résistantes, bien que les gains de poids des insectes aient été les mêmes en 24 h sur IR46 et IR22, les deux étant significativement supérieurs à celui sur IR62.La croissance de la population, l'indice de croissance et le taux de dégâts étaient tous plus faibles sur IR62, ce qui révèle une antibiose et/ou une absence de préférence. Quand la contamination des IR46 a au lieu au stade semis, la croissance de population, l'indice de croissance et le taux de dégâts étaient semblables à ceux de la variété sensible IR22. Quand la contamination avait lieu à un stade ultérieur, le laux de dégâts révélait un niveau modéré de résistance bien qu'une certaine croissance de population se soit maintenue, ce qui révèle antibiose et tolérance.Après exploration de la surface des feuilles des deux variétés résistantes, N. lugens sondait moins fréquemment que sur IR22, ce qui laisse présumer un facteur de résistance associé aux cires superficielles de ces variétés.
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18.
Epilimonol, a limonin derivative, was tested in short and long term feeding bioassays against Colorado potato beetles, Leptinotarsa decemlineata (Say), for feeding reduction and ovipositional suppression. At dosages of 10 to 30 g/cm2, epilimonol reduced feeding by 42% to 65% in short term no-choice assays. However, beetles did not strongly select untreated potato leaf discs over epilimonol-treated (10 g/cm2) ones in short term choice assays. In long term tests, epilimonol at 10 g/cm2 remained effective against feeding, caused mortality, and suppressed oviposition. Starvation (>16 hours/day) also caused mortality and suppressed oviposition.
Résumé Les effets de l'épilimonol, dérivé de la limonine, ont été observés sur l'alimentation et la ponte de L. decemlineata au cours d'expériences d'alimentation brèves ou prolongées. L'épilimonol à 10 à 30 g/cm2 réduit de 42 à 65% la prise de feuillage de Solanum tuberosum lors d'expériences sans choix. Au cours d'expériences prolongées, l'épilimonol à 10 g/cm2 empêche la ponte et provoque la mort des adultes. Aucune accoutumance des adultes à l'épilimonol n'est apparue quant à l'alimentation et à la ponte. La ponte commence 3 à 5 jours après des traitements à l'épilimonol de 9 et 25 jours. Le jeûne supérieur à 16/jour provoque aussi la mortalité des adultes et supprime la ponte et peut être le mécanisme initial dû à l'épilimonol. Cependant, dans des expériences brèves de choix entre des rondelles de feuilles de pommes de terre traitées à 10 g/cm2 et non traitées, L. decemlineata ne choisit pas particulièrement les rondelles non traités. On peut ainsi estimer que l'épilimonol n'a que des effets mineurs ou est sans effet sur la sélection de l'hôte par L. decemlineata. La régression de la prise de nourriture pourrait être due à l'action sur les sensilles gustatives de la bouche ou de de la cavité préorale qui sont moins impliquées dans le processus de sélection de l'hôte et plus responsables de la prise de nourriture.
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19.
Conclusions Nous ne méconnaissons pas le caractère encore hypothétique de ces considérations générales. Nous les croyons cependant utiles, car elles permettent de rattacher certaines constatations cellulaires à un ensemble plus vaste de modifications tissulaires dont elles représentent seulement un élément.Ces modifications tissulaires peuvent être provoquées par diverses conditions extérieures dont la plus immédiate et la plus essentielle pourraît bien être un excès local de CO2. On retrouve là, semble-t-il, un exemple assez net du rôle joué par CO2 en physiologie tissulaire et cellulaire.Comment cet excès de CO2 arrive-t-il à provoquer les altérations structurales qui viennent d'être décrites? Nous l'ignorons encore complètement. Que des processus enzymatiques, liés souvent aux infrastructures membraneuses, jouent un rôle en cette affaire, ceci paraît probable.Mais on se heurte là à un domaine encore inconnu. Il serait fort intéressant de préciser le rôle du CO2 dans ces phénomènes. De telles recherches mèneraient certainement à des conclusions fort importantes au point de vue de la pathologie pulmonaire. Toutefois, jusqu' à présent, nous restons encore dans le domaine de l'hypothèse.Avec la collaboration technique de C. Reuet.  相似文献   

20.
Diets prepared from lyophilized and powdered current-year (1983) shoots of white spruce Picea glauca (Moench) Voss were offered to 6th-instar larvae of spruce budworm, Choristoneura fumiferana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae). With increasing age of current-year shoots, time to pupation increased whereas survival, assimilation efficiency, efficiency of conversion of diet to moth biomass, and moth dry weight generally decreased. Sex of the larvae influenced amount ingested, time to pupation, and subsequent moth weight but not survival, assimilation efficiency, and efficiency of conversion of diet to moth biomass.
Résumé De la poudre lyophilysée de pousses de l'année de Picea glauca a été introduite dans le régime de chenilles du 6ème stade de Choristoneura fumiferana: 20% de poudre de pousses, 1.2% de gélifiant, 78.8% d'eau. Il est ainsi possible de déterminer à 2 mg près la quantité d'aliment consommée par chaque chenille, et, ainsi, de calculer, pour chacune, l'indice alimentaire, dont la prise de nourriture est l'une des variables. Avec de tels régimes préparés à partie de pousses recueillies au cours de 1983, on a constaté que la date de nymphose, la quantité consommée, et le poids ultérieur des papillons dépendaient du sexe de la chenille. En général, les chenilles femelles se nymphosent plus tard, consomment plus et donnent des papillons plus lourds (poids sec) que les chenilles mâles. L'efficacité de l'assimilation et celle de la transformation en biomasse de papillon ne différent pas suivant les sexes, c'est-à-dire qu'ils ont la même aptitude à digérer les pousses. Les taux de survie de chenille à nymphe et de nymphe à imago ne différent donc pas.Cependant, certains de ces paramètres et d'autres changent en fonction de l'âge des pousses annuelles. Quand elles ont été récoltées 7 jours après le débourrement (il a lieu le 20 mai), la survie jusqu'en nymphe est de 93% contre 74% de survie totale; avec des pousses récoltées 52 jours après le débourrement (11 juillet) les taux de survie sont respectivement 7% et 1.4%; avec des pousses récoltées 146 jours après le débourrement (13 octobre) les survies sont 71% et 50%. Des pousses récoltées 28 jours ou plus après le débourrement, retardent la date de nymphose de 25% par rapport à celles récoltées entre 7 et 14 après le débourrement; parallèlement, elles abaissent l'efficacité de l'assimilation de 39%, l'efficacité de conversion de la biomasse de 125%, et le poids des papillons de 54%. Ces changements sont liés à une diminution de la teneur en azote des pousses de 2.1% à environ 1% du poids sec. Cependant la corrélation entre la survie des chenilles et la teneur en azote n'est pas rigoureuse et un facteur encore inconnu est supposé responsable de l'augmentation de la mortalité quand les chenilles consomment (dans leur régime) des pousses récoltées début juillet, 52 jours après le débourrement. Les travaux destinés à identifier ce facteur inconnu sont en cours.
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