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1.
Résumé Les variations d'abondance des 2 cochenillesPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero etFerrisia virgata Cockerell et des 2 prédateurs CoccinellidaeHyperaspis senegalensis hottentotta Mulsant etExochomus flaviventris Mader sont étudiées dans une parcelle de manioc. La colonisation de cette dernière parE. flaviventris est précoce, en présence de faibles niveaux numériques des 2 proies, mais avec une dominance deF. virgata; celle d'H. s. hottentotta intervient un mois plus tard en relation semble-t-il avec la présence d'une population deP. manihoti abondante et jeune. Nos observations font ressortir une dynamique des populations propre à chaque espèce de coccinelle, conditionnée par l'abondance de l'une ou l'autre des proies, la structure des colonies de chaque cochenille et les conditions climatiques (température) qui interviennent en synergie. Ainsi, la réponse numérique deH. s. hottentotta, plus forte que celle d'E. flaviventris, semble en relation plus étroite avecP. manihoti. PourE. flaviventris il appara?t difficile de séparer ce qui revient à chaque espèce de cochenille:F. virgata joue sans doute un r?le important pour son implantation dans les champs, puis sa raréfaction, mais c'est probablementP. manihoti qui permet l'augmentation de ses effectifs.   相似文献   

2.
Résumé Les recherches entreprises en conditions contr?lées de laboratoire ont permis de déterminer les principales caractéristiques biologiques deMacrolophus caliginosus Wagner (Heteroptera: Miridae). Cette espèce appara?t assez polyphage mais est un prédateur actif des stades immatures de l'Aleurode des serres. L'incubation des oeufs demande 11,4 jours à 25 °C et plus d'un mois à 15°C, le taux d'éclosion dépassant 80% lorsque l'état de la plante h?te reste satisfaisant. La vitesse de développement larvaire dépend à la fois de la température et de l'alimentation fournie. Sur jeunes stades d'Aleurodes, il faut environ 19 jours à 25 °C et 58 jours à 15 °C de l'oeuf à l'adulte. L'évolution des larves est encore possible quoique très lente à 10 °C alors que la température de 40 °C est létale. La longévité et la fécondité deM. caliginosus sont importantes puisqu'elles atteignent respectivement 232 jours et 409 oeufs pour des femelles nourries avec les oeufs d'Anagasta kuehniella pris comme alimentation de remplacement.M. caliginosus peut supporter une limitation sévère de la quantité de nourriture disponible puisque développement et ponte sont possibles avec moins de la moitié de la ration habituelle. L'implication de ces résultats sur la connaissance des performances de ce prédateur en temps qu'agent de lutte biologique contre les ravageurs des cultures protégées est discutée.   相似文献   

3.
G. Reyd  B. Le Rü 《BioControl》1992,37(2):317-325
Résumé L'influence de la prédation des larves d'Hyperaspis raynevali et d'Exochomus flaviventris (Col. Coccinellidae) sur les colonies de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti (Hom. Pseudococcidae) a été étudiée en relation avec la densité et la structure d'age des colonies de cochenilles, et avec le rapport proie/prédateur utilisé lors du lacher des larves. La prédation des deux espèces de coccinelles est surtout influencée par la densité et la structure d'age des colonies deP. manihoti: le rapport proie/prédateur intervient dans une moindre mesure. Elle est plus importante sur la densité initiale de 45 cochenilles/plant que sur la densité de 25 cochenilles/plant, et, permet de limiter significativement la multiplication des colonies deP. manihoti constituées d'adultes et de larves néonates, et de réduire significativement les effectifs de cochenilles composées de 2e et 3e stades larvaires. Pour les deux espèces de coccinelles, les lachers effectués avec un rapport proie-prédateur de 3 cochenilles pour 1 larve de coccinelle (3/1) ont une influence plus grande sur la réduction des effectifs de cochenilles que ceux réalisés avec un rapport de 7/1. Ce résultat est cependant plus marqué chezE. flaviventris. Pour tous les paramètres étudiés, la coccinelle exotiqueH. raynevali maintient les densités deP. manihoti à des niveaux numériques inférieurs à ceux obtenus avec l'espèce indigèneE. flaviventris. Les résultats sont comparés à ceux obtenus en parcelles au Congo. L'utilisation des larves de coccinelles dans la perspective d'une lutte biologique contre la cochenille du manioc est évoquée en discussion.   相似文献   

4.
The main characteristics of the imaginal and preimaginal development and the reproduction ofOrius laevigatus were studied at 15, 20, 25 and 30°C. Temperature greatly influences the developmental and reproductive biology of this species. The lowest developmental threshold is 10,6°C. Reproduction is greatly reduced at 15°C relative to the higher temperatures tested. O. laevigatus is well adapted to relatively high temperature conditions. The best development and reproduction rates are observed between 20 and 30°C with a theoretical optimum at 26°C.
Résumé Les principales caractéristiques du développement pré-imaginal et imaginal ainsi que la reproduction d'Orius laevigatus sont étudiées à des températures de 15, 20, 25 et 30°C. La température influence considérablement le développement embryonnaire et post-embryoannaire de cette espèce. Le zéro théorique de développement se situe à 10,5°C. Les capacités reproductrices sont fortement perturbées à des températures inférieures à 15°C. Les résultats montrent queO. laevigatus est une espèce adaptée à des conditions thermiques relativement élevées. C'est entre 20 et 30°C, avec un optimum de 26°C, que s'expriment le mieux les capacités de développement et de reproduction de ce prédateur.
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5.
Résumé La longévité, la fécondité, le nombre d'adultes émergés, le sex-ratio et le cycle de développement deTrichogramma evanescens Westwood etTrichogrammatoidea lutea Girault ont été étudiés sur un h?te de substitution (Anagasta kuehniella) ou sur un h?te naturel (Helicoverpa armigera), ainsi que le nombre d'œufs parasités par ces 2 espèces. La longévité des ♀♀ des 2 oophages est très influencée par l'alimentation. Une ♀ deT. evanescens nourrie vit 7 fois plus longtemps qu'une privée d'alimentation et celle deT. lutea 5 fois plus. La présence de l'h?te joue également un r?le non négligeable. La fécondité est plus élevée chezT. evanescens (42 œufs en moyenne) que chezT. lutea (31 œufs). Cependant le nombre moyen d'œufs deH. armigera parasités par ♀ ainsi que le nombre d'adultes émergés sont presque équivalents chez les 2 espèces parasito?des. Le sex ratio (♂♂/♀♀) est de 0,59 chezT. evanescens et de 0,71 chezT. lutea. Quant à la durée de développement, elle est plus longue chezT. evanescens que chezT. lutea aux basses températures (36 jours contre 30 jours à 15°C). Cette différence est moins marquée lors de l'augmentation de la température (4 h à 30°C). La température de 35°C s'avère néfaste pour le développement des 2 espèces oophages ce qui restreint la possibilité de leur utilisation en lutte biologique au Maroc. Des études complémentaires seront à développer pour vérifier leur aptitude dans les conditions de terrain.   相似文献   

6.
N. P. Markwick 《BioControl》1986,31(3):225-236
Methods used for evaluating the effects of pesticides and selecting for pesticide resistance in phytoseiid mites are reviewed from recent literature. In particular slide dip, leaf dip, and leaf disc spray methods are compared. The selection of predatory mites (Typhlodromus pyri Scheuten andPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot) for resistance to 3 synthetic pyrethroids (SP-cypermethrin, deltamethrin, and fenvalerate) is described. Tolerance of field populations to all 3 SP was low inP. persimilis but moderate inT. pyri. Field samples of both mite species on leaf discs were sprayed and the survivors were reared in laboratory and/or glasshouse cultures. These cultures were sprayed with repeated doses of SP; initiallyT. pyri was selected with cypermethrin andP. persimilis with fenvalerate. The survival rate ofT. pyri increased at each selection. After 6 selections the survival rate of the laboratory culture was 10 times that of the original field samples. Tests indicated crossresistance inT. pyri to fenvalerate and deltamethrin. Selection with cypermethrin is continuing. In the first 12 months repeated selections ofP. persimilis with fenvalerate gave no significant change in survival rate.
Résumé Les méthodes utilisées pour évaluer les effets des pesticides et pour sélectionner la résistance à ces mêmes produits, des acariens phytoseiides sont analysées d'après la littérature récente. La sélection des acariens prédateurs (Typhlodromus pyri S{upcheuten} etPhytoseiulus persimilis A{upthias}-H{upenriot}) pour leur résistance aux 3 pyréthrinoides de synthèse (cyperméthrine, deltaméthrine et fenvalerate) est décrite. La tolérance des populations naturelles aux 3 pyréthrinoides de synthèse était basse pourP. persimilis, mais modérée pourT. pyri. Les échantillons des 2 espèces d'acariens prélevés à l'extérieur furent traitès sur des disques de feuilles et les survivants furent élevés au laboratoire et/ou dans des cultures en serre. Ces élevages furent traités avec des doses répétées d'un pyréthrinoide, cyperméthrine initialement pourT. pyri et fenvalerate pourP. persimilis. Le taux de survie deT. pyri augmentait à chaque sélection. Après 6 sélections, le taux de survie de l'élevage de laboratoire était 10 fois celui des échantillons d'origine. Les essais révélaient une résistance croisée deT. pyri à la fenvalerate et à la deltaméthrine. La sélection avec la cyperméthrine se poursuit. Au cours des 12 premiers mois, les sélections répétées deP. persimilis avec la fenvalerate ne donnait pas de changement significatif dans le taux de survie.
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7.
Résumé Vingt souches deFrankia, isolées à partir de 7 espèces différentes de plantes actinorhiziennes ont été cultivées sur des milieux maintenus à des pH constants de 5; 4,8; 4,6 et 4,2. Chaque souche a été cultivée 2 à 3 fois consécutives à un même pH. Quatorze souches ne montrent aucune croissance à pH 5. Seules 3 souches résistent à un séjour de plusieurs semaines à pH 4,6. Aucune souche ne demeure viable après un séjour dans un milieu à pH 4,2. Les 3 souches acido-résistantes supportent également la présence d'Al+++ libre dans le milieu de culture. Une forte concentration d'H+ dans le milieu stimule beaucoup la sporogénèse. Inoculée dans un sol acide une souche acido-résistante conserve une chance de survie nettement supérieure à celle d'une souche neutrophile maintenue dans les mêmes conditions.   相似文献   

8.
Ofuya  T. I. 《BioControl》1986,31(4):331-335
Consumption of larvae and females ofAphis craccivora Koch by 1st and 4th larvae and adults ofCheilomenes vicina (Muls.) was studied under fluctuating temperature (24–30°C). The early aphid instars were consumed in significantly greater numbers than later instars and females. The feeding rates ofC. vicina were significantly positively correlated with the population density of prey. The number of prey consumed daily by each predator stage tested, increased more steeply at lower than at higher prey densities, exhibiting thus the type 2 functional response
Résumé Consommation des larves et des ♀ d'Aphis craccivora par les11e stades, les 4e stades et les adultes deCheilomenes vicina a été étudiée à une température variant de 24 à 30°C. Les jeunes stades du puceron sont consommés en nombre plus grand significativement que les derniers stades et les ♂. Les taux d'alimentation deC. vicina manifestent une corrélation hautement significative avec la densité de population de la proie. Le nombre de proies consommées quotidiennement par chaque stade considéré du prédateur augmentait plus brusquement aux faibles qu'aux fortes densités de proies, manifestant ainsi chez le prédateur le type 2 de réponse fonctionnelle.
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9.
P. Silvie 《BioControl》1991,36(3):431-441
Résumé Le parasitisme naturel deS. derogata et deC. flava, 2 Lépidoptères phyllophages du cotonnier a été étudié pour la première fois au Tchad en 1986 et 1987. Le pourcentage de parasitisme des larves deS. derogata récoltées dans les champs avoisinait en moyenne 18,5% en 1986, année avec une faible infestation de larves et 14,1% en 1987, année avec une forte infestation. En 1986,Meteoridea testacea (Braconidae) était le parasito?de le plus commun tandis qu'en 1987, quand plus de larves h?tes étaient disponibles,Apanteles syleptae (Braconidae) était l'espèce la plus commune. En 1987, des parasito?des secondaires sortaient de beaucoup de cocons de braconides apportés du champ au laboratoire, pour une étude ultérieure. En 1987, 15,7% des larves deC. flava récoltées dans les champs furent parasitées. Les parasito?des primaires qui sortaient de ces larves étaient tous spécifiques des espèces. Le parasito?de primaire le plus commun étaitAleiodes aligharensis (Braconidae). Par opposition, les parasites secondaires n'étaient pas spécifiques, mais c'étaient les mêmes espèces qui infestaient les cocons des parasito?des deS. derogata.   相似文献   

10.
In 1980, the authors went to the People's Republic of China in search of the natural enemies of the arrowhead scale,Unaspis yanonensis Kuwana, and succeeded in collecting 2 species of parasitic wasps of this pest namelyPhyscus fulvus Compere & Annecke andAphytis yanonensis DeBach & Rosen. The development, reproduction and longevity ofAphytis yanonensis were studied under constant temperature conditions. The number of generations a year was estimated to be from 10 to 12. Reproduction ofPhyscus fulvus is arrhenotokous, and development from egg to adult required 25 days at 25°C and 33 days at 20°C. The number of generations was estimated at 4 to 5 a year. Both parasites were released in several citrus groves in the Shizuoka Prefecture, of central Japan during June and July, 1981. They successfuly hibernated and each stage of development was found from March to December, 1982. They are considered to be potentially highly effective against the arrowhead scale. We have succeeded in establishing bothAphytis yanonensis andPhyscus fulvus in several districts in the Shizuoka Prefecture.
Résumé Les auteurs se rendirent en 1980 en République Populaire de Chine pour entreprendre une recherche sur les ennemis naturels deUnaspis yanonensis Kuwana et découvrirent 2 espèces d'hyménoptères parasites de la cochenille. Les ennemis naturels introduits furentPhyscus fulvus Compere & Annecke etAphytis yanonensis DeBach & Rosen. La croissance, la reproduction et la longévité deA. yanonensis furent étudiées à température constante. Le nombre de générations annuelles a été estimé entre 10 et 12. La reproduction deP. fulvus est de type arrhénotoque et la durée du développement de l'œuf à l'adulte, nécessite 25 jours à 25°C et 33 jours à 20°C. Le nombre de générations annuelles a été estimé à 4 ou 5. Les 2 parasites ont été libérés dans plusieurs plantations d'agrumes de la préfecture de Shizuoka, région centrale du Japon pendant les 2 mois de juin et juillet 1981 et ont hiverné avec succès. Chaque stade de développement a été observé de mars à décembre 1982. Ces parasites sont considérés comme des ennemis naturels hautement efficaces de la cochenille. Nous avons introduit avec succèsAphytis yanonensis etPhyscus fulvus en provenance de Chine dans diverses régions de la préfecture de Shizuoka, partie centrale du Japon.
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11.
G. Fabres  C. Reymonet 《BioControl》1991,36(1):121-129
Résumé Dans la région béarnaise, la récolte des gousses m?res deLathyrus sylvestris et deLathyrus latifolius, avant la déhiscence, puis la mise en éclosoir de leurs graines, permet l'obtention des adultes de la brucheBruchus affinis et de son ectoparasite larvaireDinarmus acutus. Ces derniers sortent en petits nombres à l'automne de la même année puis de fa?on massive au printemps de l'année suivante, après une diapause au dernier stade larvaire. Un élevage en continu, de nombreuses générations successives, en conditions semi naturelles de température et de photopériode, a montré la présence simultanée d'individus diapausants et non diapausants tout au long de l'hiver, et l'absence totale de diapausants dès le mois de mai. Les larves diapausantes produisent une substance orangée qui marque l'arrêt de développement. Compte tenu de la biologie de la bruche et de son parasite larvaire: développement larvaire à l'intérieur des graines et vie des adultes à l'extérieur, nous avons choisi d'étudier l'influence des conditions thermiques sur les larves et de la photopériode sur les adultes du parasite. Les résultats obtenus montrent que les températures basses n'induisent pas d'arrêt de développement. Par contre, une photopériode jours courts, appliquée aux adultes, provoque l'entrée en diapause d'un fort pourcentage des larves de la descendance. Les résultats présentent une certaine variabilité selon la descendance et le rang de la ponte. Le détail des résultats est examiné dans le cadre de l'induction maternelle de la diapause larvaire et de l'hypothèse d'une horloge chimique à l'origine du marquage des diapausants (substance orangée) et de la variabilité enregistrée.   相似文献   

12.
Résumé Le parasitePauesia cedrobii Stary et Leclant, spécifique du puceron du CèdreCedrobium laportei Remaudière, a été récolté dans le Moyen-Atlas, (Maroc) puis introduit dans un peuplement de cèdre (Cedrus atlantica Manetti) du sud-est de la France au printemps 1981. La méthode utilisée a consisté en une introduction directe des parasites, préalablement isolés sur le lieu de récolte (momies) puis mis à éclore en chambre climatisée de fa?on à éliminer les hyperparasites. Après accouplement, 225 adultes ont été introduits dans des manchons installés sur des rameaux abritant des colonies deC. laportei. L'évolution des populations de l'h?te et du parasite a été suivie au niveau des points de lacher d'une part, et dans la parcelle d'autre part. L'installation définitive du parasite dans la parcelle s'est produite, 1 an après le lacher, grace à un automne et à un hiver particulièrement doux, qui ont favorisé la multiplication de l'h?te. Le parasite est définitivement implanté: il est encore présent 4 années après le lacher. Entre temps, il a été étendu à d'autres forêts de cèdre du sud-est de la France. Huit espèces d'hyperparasites autochtones se sont portés surP. cedrobii, mais ceci ne remet pas en cause la réussite de l'introduction de l'aphidiide. Avec la collaboration technique deE. Robert, A. Chalon, J. Chizky.  相似文献   

13.
Eight phytoseiid species were tested to evaluate and compare their potential as predators ofTetranychus evansi Baker & Pritchard andT. urticae (Koch). The study was conducted using arenas of excised nightshade (Solanum douglasii Dunal) and Lima bean (Phaseolus vulgaris L.) leaves infested with eitherTetranychus species. When the prey wasT. evansi, the predatorsAmblyseius californicus (McGregor) andPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot from Ventura, California, showed the highest oviposition rates. However, those rates were 4 to 6 times lower than rates for the same predators feeding onT. urticae. OnlyA. californicus and the strain ofP. persimilis from Beni-Mellal, Morocco, had survivorship higher than 50% 8 days after the beginning of the experiment. The results indicated thatT. evansi is an unfavorable prey for all the phytoseiids tested.
Résumé Huit espèces d'Acariens phytoseiides étaient testées en vue de comparer leurs potentialités prédatrices vis-à-vis deTetranychus evansi Baker & Pritchard et deTetranychus urticae (Koch). L'étude était réalisée sur des feuilles détachées deSolanum douglasii Dunal et dePhaseolus vulgaris L. Les feuilles avaient été infestées avec l'une ou l'autre des espèces deTetranychus. Amblyseius californicus (McGregor) etPhytoseiulus persimilis Athias-Henriot, de Ventura, ont donné les taux d'oviposition les plus élevés avecT. evansi, mais ces taux étaient 4 à 6 fois inférieurs à ceux obtenus lorsque la proie étaitT. urticae. SeulsA. californicus et la souche deP. persimilis de Beni-Mellal avaient une survie supérieure à 50%, 8 jours après le début du test. Les résultats indiquent queT. evansi n'est pas une proie favorable pour toutes les espèces testées.
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14.
A. Kiyindou  G. Fabres 《BioControl》1987,32(2):181-189
Résumé Hyperaspis raynevali Mulsant est une coccinelle prédatrice dePhenacoccus herreni Cox & Williams en Guyane. Elle a été introduite au Congo pour particier à la régulation des populations de la cochenille du maniocPhenacoccus manihoti Matile-Ferrero. Avant les lachers de plein champ, une étude a été conduite au laboratoire pour tenter de quantifier son pouvoir de multiplication et comparer ce dernier à celui des coccinelles locales précédemment étudiées. La capacité d'accroissement d'une population deP. raynevali est de 0,081 (rc deLaughlin) dans les conditions du laboratoire avec un taux net de reproduction de 271,7 et une durée de génération de 69 jours. La durée du développement préimaginal est sensiblement allongée aux températures inférieures à 25°C et la mortalité embryonnaire reste élevée aux différentes conditions thermohygrométriques testées.   相似文献   

15.
Résumé Les auteurs ont mis au point un procédé d'estimation de la virulence des Entomophthorales à l'égard des adultes du moustiqueAedes aegypti. Ce paramètre est estimé en termes de CL 50 de conidies/mm2. C'est la 1re fois qu'une telle méthodologie est appliquée à ces champignons vis-à-vis de Diptères. L'activité de 2 souches deZoophthora radicans isolées le même jour dans la même localité a ainsi pu être comparée à des intervalles successifs après la mise en culture. Au début de l'expérience, les 2 souches se sont révélées capables d'entra?ner des taux de mortalité de 100% et leur virulence était comparable. La symptomatologie de la mycose était caractéristique, avec formation de conidiophores chez la quasitotalité des cadavres. Par la suite, une discordance a été notée dans le comportement respectif des 2 souches. Alors que la virulence de l'une est restée stable pendant les 6 mois qu'a duré l'expérience, celle de l'autre a diminué très rapidement, le taux maximum de mycose ne dépassant plus 20% après le 1er essai. Le passage sur l'h?te expérimental n'a pas eu pour effet de modifier cette situation. Ces résultats, ainsi que leurs implications, sont discutés. Ils soulignent l'importante variabilité comportementale qui peut exister au sein d'une même espèce d'Entomophthorale. Avec la collaboration technique deMonique Arnault et deNelly Delatre.  相似文献   

16.
J. Chazeau 《BioControl》1974,19(2):183-193
Afin de préciser l'action prédatrice deStethorus madecassus surTetranychus neocaledonicus, la consommation des différents stades du prédateur a été étudiée dans une enceinte à température constante. A 25°, la consommation totale est de 494 ?ufs de tétranyque pour l'ensemble des 4 stades larvaires. A cette température, elle est de 46,8 femelles de tétranyque par jour pour une femelle fécondée deStethorus, 21,3 pour un mâle, et 13,1 pour une femelle vierge. Des essais complémentaires en conditions ambiantes naturelles ont permis de s'assurer de la validité de ces résultats. Les tests à 20° et 30° montrent que, dans cet intervalle, la consommation des adultes double sensiblement pour une élévation de température de 5°, et qu'une forte corrélation positive existe entre la voracité et la fécondité individuelles des femelles.  相似文献   

17.
Résumé L'AcridienGesonula punctifrons St?l attaque la Jacinthe d'eau (Eichhornia crassipes) dans plusieurs parties de l'Inde et est adapté à un habitat aquatique ou semi-aquatique. Les œufs, pondus dans les pétioles des feuilles, éclosent en 3 à 4 semaines. Les larves se développent en 4 à 5 semaines et demi, avec 5 mues. Les adultes vivent au maximum 4 à 5 mois en s'alimentant seulement de Jacinthe d'eau. En essais de laboratoire cet Acridien se nourrit activement deCanna orientalis dont les tiges sont percées de trous pour la ponte par les femelles, mais aucun œuf n'est déposé. Quarante trois autres plantes d'intérêt économique ont été expérimentées: plusieurs d'entre elles ont été l'objet d'attaques légères à modérées. L'analyse de la littérature concernant les plantes-h?tes du genreGesonula et la distribution deG. punctifrons montrent que cette espèce s'est adaptée secondairement àE. crassipes. Bien que cet Acridien s'observe en grand nombre dans quelques régions, l'ensemble de ses dégats à la mauvaise herbe n'est pas suffisant pour assurer le contr?le de celle-ci.

This research has been financed in part by a grant made by the United States Department of Agriculture under P. L. 480.  相似文献   

18.
The effect ofAphodius sphacelatus andA. ater activity in cattle faeces andSphaeridium bipustulatum in sheep and horse faeces on the discharge ofPilobolus sporangia was investigated under laboratory conditions. In five trials, the median number of sporangia produced was significantly less (P<0.01) in experimental chambers (with 1 or 2 beetles/g faeces) than in control chambers (without beetles). In addition, median percentage reduction of sporangia was significantly higher (P<0.01) forA. sphacelatus (80.9%) than forA. ater (56.9%) at 1 beetle/g cattle faeces.
Résumé L'effet de l'activité d'Aphodius spacelatus et deA. ater dans les bouses de vaches et deSphaeridium bipustulatum dans les fèces de moutons et de chevaux, sur la libération de sporanges parPilobolus a été étudié en conditions de laboratoire. Sur 5 essais le nombre médian de sporanges libérés dans des cellules expérimentales (avec 1 ou 2 bousiers/g fèces) était significativement inférieur (P<0.01) à celui obtenu dans des cellules témoins (sans bousier). De plus, le pourcentage médian de réduction des sporanges est significativement plus élevé (P<0,01) pourA. sphacelatus (80,9%) que pourA. ater (56,9%) à la densité de 1 bousier/g de bouse.
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19.
Refined petroleum products have been used since last century for the control of phytophagous arthropod pests. The response ofHelicoverpa spp. and its natural enemies to petroleum oil sprays on cotton was investigated under laboratory choice/no-choice and small plot field conditions at the Australian Cotton Research Institute at Narrabri in New South Wales. In oviposition choice and no-choice tests, petroleum oil sprays suppressed oviposition inHelicoverpa punctigera (Wallengren) but notH. armigera (Hubner) (Lepidoptera: Noctuidae).H. punctigera females laid about seven times as many eggs on the control (water sprayed) cotton plants as on either petroleum oil spray alone or oil mixed with Kelgum. HoweverH. armigera females laid the same number of eggs on both treated and control plants. In field trials, the number of eggs per metre per sample date found on the plots treated with petroleum oil spray was 3.83 compared with 6.29 and 7.82 eggs respectively on plots treated with conventional insecticide sprays and the unsprayed plots. The number of larvae found on plots treated with petroleum oil sprays was 2.9 times higher than the conventional insecticide sprayed plot, however, this was 1.6 times fewer than the unsprayed plot. The cotton yields from plots treated with petroleum oil sprays was 3.70 bales/ha compared with 7.32 and 2.69 bales respectively from the conventional insecticide treated and the unsprayed plots. Petroleum oil sprays had little or no effect on predatory beetles, bugs, lacewings and spiders.
Résumé Des produits de pétrole raffiné ont été utilisés depuis le siècle dernier pour lutter contre les arthropodes ravageurs phytophages. La réponse deHelicoverpa spp. et des ses ennemis naturels à des pulvérisations d'huile de pétrole sur cotonnier a été étudiée en laboratoire dans des expériences de choix et d'absence de choix ainsi que dans de petites parcelles en plein champ à l'Institut de Recherche australien sur le coton (Narrabri, Nouvelles Galles du Sud). Dans des expériences de choix/non choix concernant l'oviposition, les pulvérisations d'huile de pétrole empêchaient la ponte d'Helicoverpa punctigera (Wallengren) mais pas deH. armigera (Hubner) (Lep.: Noctuidae). Les femelles deH. punctigera pondent environ 7 fois plus d'oeufs sur les plants de coton témoins (pulvérisés avec de l'eau) que sur les plants traités à l'huile de pétrole seule ou en mélange avec du Kelgum. Par contre,H. armigera pond le même nombre d'oeufs sur les plants traités ou témoins. Dans les essais en plein champ, les parcelles pulvérisées avec de l'huile de pétrole comportent significativement moins deHelicoverpa et présentent une récolte plus importante que celles non traitées; cependant le nombre de chenilles est plus élevé et la récolte moindre que dans les parcelles traitées avec des insecticides. Les pulvérisations d'huile de pétrole ont un effet faible ou nul sur la faune auxiliaire.
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20.
G. Reyd  R. Gery  A. Ferran  G. Iperti  J. Brun 《BioControl》1991,36(2):161-171
Résumé Hyperaspis raynevali Muls. est une coccinelle coccidiphage appelée à intervenir en lutte biologique contre la cochenille du manioc:Phenacoccus manihoti Matile-Ferrero en Afrique. Au laboratoire, ce prédateur est multiplié sur la cochenille du manioc et sur la cochenille farineuse des agrumesPlanoccus citri Risso (proie de substitution). L'étude des aptitudes trophiques d'H. raynevali élevée avec ces 2 espèces de cochenille a été entreprise afin de comparer la valeur alimentaire respective de ces proies. Les résultats montrent que la qualité nutritive deP. manihoti est légèrement supérieure à celle deP. citri pour les larves et les adultes de la coccinelle, à condition de ne pas utiliser le poinsettia, comme végétal de substitution pour élever la cochenille du manioc. De plus,P. citri constitue une proie que l'on peut avantageusement utiliser au Congo afin de produireH. raynevali pour entreprendre une opération de lutte biologique contreP. manihoti.   相似文献   

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